« Rue Saint-Honoré - Parcelle n°315 (Empire) » : différence entre les versions

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* '''Jacquemart de la Terrière''', procureur à Nogent en Verdisson  
* '''Jacquemart de la Terrière''', procureur à Nogent en Verdisson  
* '''Gillet''', M., n°474 (Royal) (1791).
* '''Gillet''', M., n°474 (Royal) (1791).
<small>Note : Il s'agit vraisemblablement de Gillet, avocat, s. n°, ("citoyen actif" n°96 sur la ''Liste des citoyens éligibles de la Section des Tuileries'', 1790).</small>
* '''Gillet''', Marie-Jeanne, épouse de '''Sébastien Rendu'''.
<small>Marie-Jeanne Gillet (1747-1823), seconde épouse de Sébastien-Louis Rendu, le frère de Louis-Armand Rendu de Saint-Aubin est mère de 7 enfants dont '''Louis-Athanase Rendu'''.</small>
* '''Husson''', tourneur, n°84 (Tuileries) (1798).
* '''Laborie''', M. Particulier, n°315 (Empire) (1805).
* '''Laborie''', M. Particulier, n°315 (Empire) (1805).
* '''Lesaire''', receveur des rentes, n°315 (Empire) (1805).
* '''Lesaire''', receveur des rentes, n°315 (Empire) (1805).
* '''Hussos''', tourneur, n°84 (Tuileries) (1798).
* '''Martin''', commissionnaire de marchandises, n°82 (Tuileries) (1798).
* '''Martin''', commissionnaire de marchandises, n°82 (Tuileries) (1798).
* '''Martin''', architecte, n°315 (Empire) (1805).
* '''Martin''', architecte, n°315 (Empire) (1805).
* '''Pavée de Provenchères''', Guillaume, trésorier royal s. N° (Hénard).


* '''Pavée de Porvenchères''', trésorier royaux s. N° (Hénard).
<small>Guillaume Pavée, seigneur de Provenchères et Vendeuvre, époux de Pétronille Davignon, père de Jean-Baptiste Gabriel de Vendeuvre (1752-?), Pétronille Pavée de Provenchères (Paris, 1762 – Bayeux, 1826) et de Gabriel-Guillaume Pavée de Vendeuvre (Paris, 1779 - Troyes, 1870) (Geneanet, ''Pierfit'') (A. Révérend, ''Armorial du Premier Empire'', vol. 4, p. 16-17 ; archives.org).</small>
* '''Prévost''', M. , n°82 (Tuileries) (1798).
* '''Prévost''', M., n°82 (Tuileries) (1798).
* '''Quesnel''', jurisconsulte et défenseur auprès des tribunaux,  n°315 (Empire) (1805, 1807).
* '''Quesnel''', jurisconsulte et défenseur auprès des tribunaux,  n°315 (Empire) (1805, 1807).
* '''Rendu''', notaire au Châtelet, n°474 (Royal) (1788), n°82 (Tuileries) (an IV).
 
* '''Rendu''', veuve, n°82 (Tuileries) (1799).
* '''Rendu''', Sébastien-Louis, notaire au Châtelet, n°474 (Royal) (1788), n°82 (Tuileries) (an II, an IV).
 
<small>Sébastien-Louis Rendu, dit Sébastien III (1730-1797) tient la charge notariale LXXIX le 26 septembre 1767 (AN, ''Référentiel producteur'', Notice FRAN_NP_010649). Il épouse la même année Marie-Anne BOURDIN (? - 1768), dont un fils né en 1768. Il se remarie en 1769 avec Marie-Jeanne Gillet puis cède sa charge le 14 juillet 1786 à Me '''Castel'''. Influencé par les nouveaux courants de pensée du siècle il publie en 1789 un livret d'une quinzaine de pages : ''Devoir du Roi, devoirs des sujets'', dans lequel il réclame un changement radical des mœurs et du système politique. (M.-A. Rendu, ''Les Rendu, ou comment accéder à la bourgeoisie'', Paris, Ed. Christian, 1989, p. 46-48).<br>
Rendu, ancien notaire, s. n°, ("citoyen actif" n°485 sur la ''Liste des citoyens éligibles de la Section des Tuileries'', 1790).<br>
« Rendu, ancien notaire, curateur du Bureau de Bienfaisance, section des Tuileries, n°82 (Tuil)  (Al. National, an II p. 474 ; an IV, p. 439).</small>
 
* '''Rendu''', veuve, n°82 (Tuileries) (1799) [née '''Gillet, Marie-Jeanne'''].
* '''Rendu''', Louis-Athanase, notaire, succ. de Lalleman jeune, n°315 (Empire) (An XII, 1805), jurisconsulte et défenseur auprès des Tribunaux, puis déménage dans l'immeuble voisin au n°317 (Empire).
 
Athanase Rendu (Étrépagny (Eure), 1777 - Ennery (Val d'Oise), 1861), fils aîné de Sébastien-Louis Rendu, et de Marie-Jeanne Gillet, chassé de l'École Polytechnique en 1796 pour refus de prêter serment de haine à la royauté, devient notaire par le rachat en octobre 1803 de l'étude CXVIII, charge de Bevière et Lalleman jeune, rue Saint-Honoré vis-à-vis de celle de la Sourdière. (''Al. National'', an XII, p. 639), cédée en mai 1815 (AN, Référentiel producteurs, FRAN_NP_010648 ; M.-A. Rendu, op. cit.). Membre du conseil d'administration de l'Institut des Aveugles et Sourds-Muets (Al. Imp., 1807, p.778), devient procureur à la Cour des Comptes, conseiller général de Seine-et-Oise (Geneanet, ''Bruno Domange'').
 
* '''Rendu de Saint-Alban''', M. n°474 (Royal) (1791).
* '''Rendu de Saint-Alban''', M. n°474 (Royal) (1791).
* '''Rendu de Saint-André''', M. n°474 (Royal) (1791).
* '''Rendu de Saint-André''', M. n°474 (Royal) (1791).
* '''Rendu de Saint-Aubin''', conseiller à l'élection de Paris n°474 (Royal) (1788).
* '''Rendu de Saint-Aubin''',Armand-Sébastien, conseiller à l'élection de Paris n°474 (Royal) (1788).
 
<small>Louis Armand-Sébastien Rendu de Saint-Aubin (Clermont en Beauvaisis, 1735 – Paris, 1804), veuf depuis 1767, vit avec ses enfants dans le même hôtel particulier que son frère Sébastien-Louis Rendu, sa belle-sœur Marie-Jeanne Gillet, et leurs enfants. Il est vraisemblablement le père de Rendu de Saint-Alban et Rendu de Saint-André, (non identifiés dans Généanet, ''arbre Rendu'').</small>
* '''Rey''', agent d'affaires,  n°315 (Empire) (1805).
* '''Rey''', agent d'affaires,  n°315 (Empire) (1805).
* '''Ringuenaire''', second clerc de Me Castel (1793).
* '''Ringuenaire''', second clerc de Me Castel, chez le notaire, s.n° (1793).
* '''Roussel''', M., n°474 (Royal) (1791).
 
* '''Sponville''', marchand de vin,
<small>Arrêté du Comité de Sûreté Générale portant que Raguenaire lui sera amené par la gendarmerie nationale. (Tuetey, ''Répertoire'', t. 9, p. 248).</small>
* '''Roussel''', M., n°474 (Royal) (1791), n°82 (Tuileries) (1790).
 
<small>Roussel, citoyen, n°82, ("citoyen actif" n°732 sur la ''Liste des citoyens éligibles de la Section des Tuileries'', 1790).</small>
* '''Sponville''', marchand de vin, n°84 (Tuileries) (s. d., ca 1795).
 
<small>« Cristaux, porcelaine, magasin de vins, fayences, glaces, le Cen SPONVILLE a l'honneur de prévenir les amateurs de bon vin et les personnes qui l'honorent de leur confiance qu'il vient de transporter son établissement de la rue Neuve-Saint-Paul, n° 5, dans la rue Saint-Honoré, n° 84 [Tuil.], en face de la rue de la Sourdière, où il continue d'envoyer en ville, franco de port des vins fins par paniers de 10 bouteilles assorties au gré des consommateurs… » (Carte, s. d. (ca 1795), BHVP, Ephémères).</small>
* '''Varigny (Digoin de)''', le jeune, Jacques-Henry, chef de bureau Compagnie des Indes, n°474 (Royal) (1788).
* '''Varigny (Digoin de)''', le jeune, Jacques-Henry, chef de bureau Compagnie des Indes, n°474 (Royal) (1788).



Version du 22 janvier 2020 à 14:55

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Numéros successifs de la parcelle

Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Voir leurs principes respectifs. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré.

Type (période) Terrier (avant 1780) Royal (1780-1791) Sectionnaire (1791-1805) Empire (depuis 1806) Actuel
Numéro n°293 n°474 n°82-85 n°315 n°203
Rattachement Terrier de la censive du Roi [1] Paroisse Saint-Roch Section Tuileries 1er Arrondissement (ancien) [2] 1er Arrondissement

Correspondance des numéros

Caractéristiques

« Bien patrimonial. Adjudication du 29 messidor an 8, sur l'enchère de 55,000 fr. à l'audience des criées du département de la Seine, séant au Palais de Justice ; sur publications volontaires, d'une maison située à Paris, rue Honoré, n°84 et 85, près celle de la Convention, vis-à-vis celle de la Sourdière, division des Tuileries. Cette Maison a son entrée par une porte cochère ; elle consiste en un corps de bâtiment de trois travées de profondeur, éclairé de quatre croisées sur la rue ; il est élevé d'un rez-de-chaussée, au-dessus d'un étage de caves, de trois étages carrés et d'un quatrième dans le comble. Ensuite, petite cour ; en aile à gauche d'icelle est une cage en charpente et maçonnerie, renfermant l'escalier à l'usage du corps de logis ci-dessus A droite de la dite cour, un petit bâtiment élevé d'un étage ; au fond d'icelle, logement servant au portier, élevé d'un rez-de-chaussée avec comble au-dessus.
A la suite du passage de porte cochère est une seconde cour ; en aile à gauche, un bâtiment élevé d'un rez-de-chaussée, de deux étages carrés, grenier au-dessus. Au fond est un petit corps de logis, simple en profondeur, de deux croisées de face, élevé d'un rez-de-chaussée de deux étages carrés, et d'un troisième sous le comble.
Troisième cour ; en aile à gauche est un bâtiment simple en profondeur, de quatre croisées de face, élevé de deux étages carrés et d'un troisième dans le comble ; ensuite un autre bâtiment de trois croisées de face, élevé d'un rez-de-chaussée, au-dessus d'un étage de caves, d'un premier étage carré, d'un second étage en mansarde et grenier au-dessus.
En retour, au fond de la dite troisième cour dans laquelle est un puits, est un autre bâtiment d'une croisée de face, élevé d'un rez-de-chaussée et de deux étages ; et par continuation une petite pièce à usage de cuisine, terminée par un comble en appentis. Enfin, en aile droite de la dite troisième cour, est un bâtiment simple élevé d'un rez-de-chaussée à usage de remise pour voitures, un étage en mansarde avec pointe de grenier, deux hangars servant d'atelier pour un menuisier.
Le tout contenant 178 toises, un dix-huitième, de superficie. Ladite maison et ses dépendances sont louées par bail principal 5400 f. et par un autre bail en anticipation 6400 f. S'adresser pour voir ladite maison au portier. » (Journal du Palais de Justice, n°148, 25 messidor an VIII, p.8).

Cetete maison XVIIIe conservée se situe aujourd'hui sur la parcelle cadastrée AY 109.

Propriétaire(s) avant 1789

  • Lescot, Melle (1688)

« 293 Maison à porte cochère appartenant à la demoiselle Lescot.
Déclaration...le 17 mai 1688 ... » (AN, Q1 1099-3 f°37 v°, Atlas de la censive du Roi (ca 1700), Pl.5, f°23).

Propriétaire(s) Révolution-Empire

Non identifié.

Propriétaires à partir de 1810

  • Martin, Louis-Émile (AN, F/31/7/169).

Occupants

  • Anonyme, menuisier, n°84 (Tuileries) (1794, an VIII).

Vente, après cessation de commerce, r. Honoré, n°84, vis-à-vis la r. de la Sourdière… de Commodes, table etc, Diligence à la moderne, berlines div. parties de sellerie et de bois d'acajou, outils de menuisier et de charron (Affiches, 17 vendémiaire an III [8 octobre 1794], p. 237 ).
Atelier de menuisier cité dans l'annonce de vente du 25 messidor an VIII (voir "Caractéristiques" ci-dessus).

  • Bastard, principal clerc de Me Castel (1793).
  • Castel, notaire, n°474 (Royal) (1788, 1791) (et Lesclapart 1787) au N° 471 (Royal) (Prévost, 1788), "en face de Saint-Roch", s.n°(Hénard )
  • Jacquemart de la Terrière, procureur à Nogent en Verdisson
  • Gillet, M., n°474 (Royal) (1791).

Note : Il s'agit vraisemblablement de Gillet, avocat, s. n°, ("citoyen actif" n°96 sur la Liste des citoyens éligibles de la Section des Tuileries, 1790).

  • Gillet, Marie-Jeanne, épouse de Sébastien Rendu.

Marie-Jeanne Gillet (1747-1823), seconde épouse de Sébastien-Louis Rendu, le frère de Louis-Armand Rendu de Saint-Aubin est mère de 7 enfants dont Louis-Athanase Rendu.

  • Husson, tourneur, n°84 (Tuileries) (1798).
  • Laborie, M. Particulier, n°315 (Empire) (1805).
  • Lesaire, receveur des rentes, n°315 (Empire) (1805).
  • Martin, commissionnaire de marchandises, n°82 (Tuileries) (1798).
  • Martin, architecte, n°315 (Empire) (1805).
  • Pavée de Provenchères, Guillaume, trésorier royal s. N° (Hénard).

Guillaume Pavée, seigneur de Provenchères et Vendeuvre, époux de Pétronille Davignon, père de Jean-Baptiste Gabriel de Vendeuvre (1752-?), Pétronille Pavée de Provenchères (Paris, 1762 – Bayeux, 1826) et de Gabriel-Guillaume Pavée de Vendeuvre (Paris, 1779 - Troyes, 1870) (Geneanet, Pierfit) (A. Révérend, Armorial du Premier Empire, vol. 4, p. 16-17 ; archives.org).

  • Prévost, M., n°82 (Tuileries) (1798).
  • Quesnel, jurisconsulte et défenseur auprès des tribunaux, n°315 (Empire) (1805, 1807).
  • Rendu, Sébastien-Louis, notaire au Châtelet, n°474 (Royal) (1788), n°82 (Tuileries) (an II, an IV).

Sébastien-Louis Rendu, dit Sébastien III (1730-1797) tient la charge notariale LXXIX le 26 septembre 1767 (AN, Référentiel producteur, Notice FRAN_NP_010649). Il épouse la même année Marie-Anne BOURDIN (? - 1768), dont un fils né en 1768. Il se remarie en 1769 avec Marie-Jeanne Gillet puis cède sa charge le 14 juillet 1786 à Me Castel. Influencé par les nouveaux courants de pensée du siècle il publie en 1789 un livret d'une quinzaine de pages : Devoir du Roi, devoirs des sujets, dans lequel il réclame un changement radical des mœurs et du système politique. (M.-A. Rendu, Les Rendu, ou comment accéder à la bourgeoisie, Paris, Ed. Christian, 1989, p. 46-48).
Rendu, ancien notaire, s. n°, ("citoyen actif" n°485 sur la Liste des citoyens éligibles de la Section des Tuileries, 1790).
« Rendu, ancien notaire, curateur du Bureau de Bienfaisance, section des Tuileries, n°82 (Tuil) (Al. National, an II p. 474 ; an IV, p. 439).

  • Rendu, veuve, n°82 (Tuileries) (1799) [née Gillet, Marie-Jeanne].
  • Rendu, Louis-Athanase, notaire, succ. de Lalleman jeune, n°315 (Empire) (An XII, 1805), jurisconsulte et défenseur auprès des Tribunaux, puis déménage dans l'immeuble voisin au n°317 (Empire).

Athanase Rendu (Étrépagny (Eure), 1777 - Ennery (Val d'Oise), 1861), fils aîné de Sébastien-Louis Rendu, et de Marie-Jeanne Gillet, chassé de l'École Polytechnique en 1796 pour refus de prêter serment de haine à la royauté, devient notaire par le rachat en octobre 1803 de l'étude CXVIII, charge de Bevière et Lalleman jeune, rue Saint-Honoré vis-à-vis de celle de la Sourdière. (Al. National, an XII, p. 639), cédée en mai 1815 (AN, Référentiel producteurs, FRAN_NP_010648 ; M.-A. Rendu, op. cit.). Membre du conseil d'administration de l'Institut des Aveugles et Sourds-Muets (Al. Imp., 1807, p.778), devient procureur à la Cour des Comptes, conseiller général de Seine-et-Oise (Geneanet, Bruno Domange).

  • Rendu de Saint-Alban, M. n°474 (Royal) (1791).
  • Rendu de Saint-André, M. n°474 (Royal) (1791).
  • Rendu de Saint-Aubin,Armand-Sébastien, conseiller à l'élection de Paris n°474 (Royal) (1788).

Louis Armand-Sébastien Rendu de Saint-Aubin (Clermont en Beauvaisis, 1735 – Paris, 1804), veuf depuis 1767, vit avec ses enfants dans le même hôtel particulier que son frère Sébastien-Louis Rendu, sa belle-sœur Marie-Jeanne Gillet, et leurs enfants. Il est vraisemblablement le père de Rendu de Saint-Alban et Rendu de Saint-André, (non identifiés dans Généanet, arbre Rendu).

  • Rey, agent d'affaires, n°315 (Empire) (1805).
  • Ringuenaire, second clerc de Me Castel, chez le notaire, s.n° (1793).

Arrêté du Comité de Sûreté Générale portant que Raguenaire lui sera amené par la gendarmerie nationale. (Tuetey, Répertoire, t. 9, p. 248).

  • Roussel, M., n°474 (Royal) (1791), n°82 (Tuileries) (1790).

Roussel, citoyen, n°82, ("citoyen actif" n°732 sur la Liste des citoyens éligibles de la Section des Tuileries, 1790).

  • Sponville, marchand de vin, n°84 (Tuileries) (s. d., ca 1795).

« Cristaux, porcelaine, magasin de vins, fayences, glaces, le Cen SPONVILLE a l'honneur de prévenir les amateurs de bon vin et les personnes qui l'honorent de leur confiance qu'il vient de transporter son établissement de la rue Neuve-Saint-Paul, n° 5, dans la rue Saint-Honoré, n° 84 [Tuil.], en face de la rue de la Sourdière, où il continue d'envoyer en ville, franco de port des vins fins par paniers de 10 bouteilles assorties au gré des consommateurs… » (Carte, s. d. (ca 1795), BHVP, Ephémères).

  • Varigny (Digoin de), le jeune, Jacques-Henry, chef de bureau Compagnie des Indes, n°474 (Royal) (1788).

Jacques-Henri Digoin de Varigny (Paris, 1757- ?), fils d'Henry-François Digoin de Varigny et de Marie-Reine Auger, époux en 1789 à Versailles de Jeanne-Hélène Clausse, et caissier à la Caisse d'Escompte après la Révolution. (Geneanet, Pierre de Laubier). Intermédiaire pour une femme d'Alençon, qui cherche une place de cuisinière-gouvernante. (Affiches, 12 septembre 1793, p. 3832).
Bénéficiaire en 1786 d'une pension sur le Trésor royal par réversion en cas de décès de son père pour un montant de 500 liv. » (État des Pensions, 1791, p. 404).

Résidents

Visiter les parcelles voisines

Numéro pair vers l'Ouest Parcelles en vis-à-vis côté Nord Numéro pair vers l'Est
n°308 (Empire) Rue de la Sourdière
n°306 (Empire)
n°304 (Empire)
Parcelle contiguë vers l'Ouest Cette parcelle côté Sud Parcelle contigüe vers l'Est
n°317 (Empire)
n°315 (Type Empire)
n°313 (Empire)

Notes et références

Les sources et références générales du projet Localisations parisiennes 1780-1810 sont regroupées dans : Sources & Références (Paris 1780-1810) {{#set:ghd=http://geohistoricaldata.org}}

  1. Atlas de la censive du Roi, Cinquième plan de la rue Saint-Honoré (AN., Q1 1099-3, Atlas de la censive du Roi, fol. 023 v° pl. 5) Voir le plan.
  2. 4ème Quartier, Tuileries ; Ilots 12 (AN, F/31/73/37). Voir le plan parcellaire en ligne.