« Rue Saint-Honoré - Parcelle n°325 (Empire) » : différence entre les versions

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Résidents

Basire (ou Bazire), Claude, membre du directoire du district de Dijon, député de la Côte-d'Or à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » (12-91). Il est cité ensuite au n°137 (?), rue Saint-Honoré (8-92). Membre de la Convention Nationale il continue de résider dans ce même hôtel des Tuileries, renommé hôtel Sillery.
Dehoulières (ou de Houlières), Louis-Charles-Auguste, maire d'Angers, député du Maine-et-Loire à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » (12-91, 8-92). Membre de la Convention Nationale il continue de résider dans ce même hôtel des Tuileries, renommé hôtel Sillery jusqu'à sa démission en avril 1793 (12-92, 4-93.
Dubois de Bellegarde, Antoine, commandant de la garde nationale d'Angoulême, député de la Charente à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » (12-91). Il réside ensuite « aux Écuries d'Orléans, rue Saint-Thomas-du-Louvre » (8-92). Membre de la Convention Nationale il continue de résider dans cette dernière résidence (12-92, 4-93, 12-93, 12-94.
Larivière (Henry-), Pierre-François, homme de loi à Falaise, député du Calvados à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » (12-91, 8-92), puis membre de la Convention Nationale. Il réside alors non loin, de l'autre côté de la rue, au n°330 (Royal).
Vardon, Louis-Alexandre-Jacques, administrateur du département, député du Calvados à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » (12-91, 8-92), puis membre de la Convention Nationale. Il réside alors quai Conti.

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 ==Résidents==
 * '''Basire''' (ou Bazire), Claude, membre du directoire du district de Dijon, député de la Côte-d'Or à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-91]]). Il est cité ensuite au n°137 (?), rue Saint-Honoré (8-92). Membre de la Convention Nationale il continue de résider dans ce même hôtel des Tuileries, renommé hôtel Sillery.
+* '''Dehoulières''' (ou de Houlières), Louis-Charles-Auguste, maire d'Angers, député du Maine-et-Loire à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-91, 8-92]]). Membre de la Convention Nationale il continue de résider dans ce même hôtel des Tuileries, renommé hôtel Sillery jusqu'à sa démission en avril 1793 ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-92, 4-93]].
-* '''Dehoulières''' (ou de Houlières), Louis-Charles-Auguste, maire d'Angers, député du Maine-et-Loire à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-91, 8-92]]). Membre de la Convention Nationale il continue de résider dans ce même hôtel des Tuileries, renommé hôtel Sillery.
+* '''Dubois de Bellegarde''', Antoine, commandant de la garde nationale d'Angoulême, député de la Charente à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-91]]). Il réside ensuite « aux Écuries d'Orléans, rue Saint-Thomas-du-Louvre » (8-92). Membre de la Convention Nationale il continue de résider dans cette dernière résidence ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-92, 4-93, 12-93, 12-94]].
-* '''Dubois de Bellegarde''', Antoine, commandant de la garde nationale d'Angoulême, député de la Charente à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-91]]). Il réside en suite « aux Écuries d'Orléans, rue Saint-Thomas-du-Louvre » (8-92). Membre de la Convention Nationale il continue de résider dans cette dernière résidence.
 * '''Larivière (Henry-)''', Pierre-François, homme de loi à Falaise, député du Calvados à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-91, 8-92]]), puis membre de la Convention Nationale. Il réside alors non loin, de l'autre côté de la rue, au [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°350 (Empire)|'''n°330 (Royal)''']].
 * '''Vardon''', Louis-Alexandre-Jacques, administrateur du département, député du Calvados à l'Assemblée Nationale Législative, réside au « n°75 [Sec. Tuileries, soit n°458-460 (Royal)] » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-91, 8-92]]), puis membre de la Convention Nationale. Il réside alors quai Conti.