« Paroisse Saint-François-d'Assise (Paris 1791) » : différence entre les versions

De Geohistoricaldata Wiki
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
 
(3 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
La paroisse Saint-François-d'Assise est créée, en application de la loi du 15 janvier 1791<ref><small>''Archives parlementaires'', tome 23, p. 202-205. [https://frda.stanford.edu/fr/catalog/qj170gb3259_00_0209 Voir en ligne.]</small></ref>, par les décrets des 4<ref><small>''A. P.'', t. 22, p. 739 et suiv.. [https://frda.stanford.edu/fr/catalog/qj170gb3259_00_0743 Lire en ligne].</small></ref> et 11 février 1791 qui fixent les nouvelles limites des 33 paroisses parisiennes.
La paroisse Saint-François-d'Assise est créée, en application de la loi du 15 janvier 1791<ref><small>''Archives parlementaires'', tome 23, p. 202-205. [https://frda.stanford.edu/fr/catalog/qj170gb3259_00_0209 Voir en ligne.]</small></ref>, par les décrets des 4<ref><small>''A. P.'', t. 22, p. 739 et suiv.. [https://frda.stanford.edu/fr/catalog/qj170gb3259_00_0743 Lire en ligne].</small></ref> et 11 février 1791 qui fixent les nouvelles limites des 33 paroisses parisiennes instaurées à cette date.


Son siège est fixé au couvent des Capucins-du-Marais, situé  rue du Temple ([[Section Temple (Paris 1790)|section Temple]]). La chapelle, dont Saint-François est le patron est promue siège de la nouvelle paroisse.
==Siège et territoire==


==Territoire de la paroisse==
Son siège est fixé au couvent des Capucins-du-Marais, situé  n°9 (Royal) rue du Perche ([[Section Homme-Armé (Paris 1790)|section Homme-Armé]]). La chapelle du couvent, située rue d'Orléans et dont Saint-François est le patron, est promue siège de la nouvelle paroisse.
(Rue du Temple), le boulevard, à droite, jusqu'à la rue Neuve-Saint-Gilles ; ladite et celle du Parc-Royal, à droite, jusqu'à celle Payenne ; ladite, à droite, jusqu'à celle des Francs-Bourgeois ; ladite, celles de Paradis, du Chaume, des Vieilles-Haudriettes et du Temple, à droite, jusqu'au boulevard.  
 
Par démembrement des territoires de Saint Paul, Saint Gervais et Saint Jean-en-Grèves, le territoire de cette nouvelle paroisse est limité depuis la porte du Temple (intersection Bd Saint-Martin-Bd du Temple), par le boulevard du Temple, à droite, jusqu'à la rue Neuve-Saint-Gilles ; la rue Neuve-Saint-Gilles puis celle du Parc-Royal, à droite, jusqu'à la rue Payenne ; la rue Payenne, à droite, jusqu'à la rue des Francs-Bourgeois ; la rue des Francs-Bourgeois puis les rues de Paradis, du Chaume, des Vieilles-Haudriettes, enfin la rue du Temple, à droite, jusqu'à la Porte du Temple.  





Dernière version du 17 octobre 2018 à 18:23

La paroisse Saint-François-d'Assise est créée, en application de la loi du 15 janvier 1791[1], par les décrets des 4[2] et 11 février 1791 qui fixent les nouvelles limites des 33 paroisses parisiennes instaurées à cette date.

Siège et territoire

Son siège est fixé au couvent des Capucins-du-Marais, situé n°9 (Royal) rue du Perche (section Homme-Armé). La chapelle du couvent, située rue d'Orléans et dont Saint-François est le patron, est promue siège de la nouvelle paroisse.

Par démembrement des territoires de Saint Paul, Saint Gervais et Saint Jean-en-Grèves, le territoire de cette nouvelle paroisse est limité depuis la porte du Temple (intersection Bd Saint-Martin-Bd du Temple), par le boulevard du Temple, à droite, jusqu'à la rue Neuve-Saint-Gilles ; la rue Neuve-Saint-Gilles puis celle du Parc-Royal, à droite, jusqu'à la rue Payenne ; la rue Payenne, à droite, jusqu'à la rue des Francs-Bourgeois ; la rue des Francs-Bourgeois puis les rues de Paradis, du Chaume, des Vieilles-Haudriettes, enfin la rue du Temple, à droite, jusqu'à la Porte du Temple.


Population

La paroisse. (Voir, sur archive.org, le tome 1, le tome 2, le tome 3).</ref>.

Notes et références

L'origine des informations de cette page se trouve dans : Sources & Références (Paris 1780-1810)

  1. Archives parlementaires, tome 23, p. 202-205. Voir en ligne.
  2. A. P., t. 22, p. 739 et suiv.. Lire en ligne.