« Paroisse Saint-Roch (Paris 1789) » : différence entre les versions
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Le territoire de la paroisse Saint-Roch, par démembrement de celui de Saint-Germain l'Auxerrois au début du XVIIIe siècle, est délimité par la r. Saint-Nicaise, le jardin des Tuileries, la porte Saint-Honoré, les r. du Luxembourg, des Capucines, Neuve-Saint-Augustin, et le segment sud-ouest de la r. de Richelieu jusqu'à l'ancien marché des Quinze-Vingts <ref>J. Lebeuf, révision A. Augier, ''Histoire de la Ville et de tout le Diocèse de Paris'', Paris, Féchoz et Letouzey, 1883 t. 1, p. 78. Lire en ligne sur Gallica.</ref>. | Le territoire de la paroisse Saint-Roch, par démembrement de celui de Saint-Germain l'Auxerrois au début du XVIIIe siècle, est délimité par la r. Saint-Nicaise, le jardin des Tuileries, la porte Saint-Honoré, les r. du Luxembourg, des Capucines, Neuve-Saint-Augustin, et le segment sud-ouest de la r. de Richelieu jusqu'à l'ancien marché des Quinze-Vingts <ref>J. Lebeuf, révision A. Augier, ''Histoire de la Ville et de tout le Diocèse de Paris'', Paris, Féchoz et Letouzey, 1883 t. 1, p. 78. Lire en ligne sur Gallica.</ref>. | ||
Version du 17 mars 2018 à 09:40
Le territoire
Le territoire de la paroisse Saint-Roch, par démembrement de celui de Saint-Germain l'Auxerrois au début du XVIIIe siècle, est délimité par la r. Saint-Nicaise, le jardin des Tuileries, la porte Saint-Honoré, les r. du Luxembourg, des Capucines, Neuve-Saint-Augustin, et le segment sud-ouest de la r. de Richelieu jusqu'à l'ancien marché des Quinze-Vingts [1].
En 1789, la paroisse Saint-Roch, rattachée à l'archiprêtré de la Madeleine en la Cité qui nomme le curé, est desservie par les prêtres de la Communauté de Saint-Roch. Elle compte alors 16 000 communiants. (Delarc, L'Église, p. 17, 25). Le segment sud-est de la rue Saint-Honoré se trouve sur le territoire de la paroisse Saint-Germain l'Auxerrois, le segment nord-est sur celui de la paroisse Saint-Eustache.
Notes et références
- ↑ J. Lebeuf, révision A. Augier, Histoire de la Ville et de tout le Diocèse de Paris, Paris, Féchoz et Letouzey, 1883 t. 1, p. 78. Lire en ligne sur Gallica.