« Les sections de Paris (1790) » : différence entre les versions
(Page créée avec « L'Assemblée Constituante par un décret du 22 juin 1790 divise Paris en 48 sections dont les limites sont précisées par les annexes à ce décret <ref><small>''Archives... ») |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
L'Assemblée Constituante par un décret du 22 juin 1790 divise Paris en 48 sections dont les limites sont précisées par les annexes à ce décret <ref><small>''Archives Parlementaires'', t. 16, p. 418-437. [https://frda.stanford.edu/fr/catalog/gz196wq7673_00_0432 Lire en ligne le texte de l'annexe.]</small></ref>. | L'Assemblée Constituante par un décret du 22 juin 1790 divise Paris en 48 sections dont les limites sont précisées par les annexes à ce décret <ref><small>''Archives Parlementaires'', t. 16, p. 418-437. [https://frda.stanford.edu/fr/catalog/gz196wq7673_00_0432 Lire en ligne le texte de l'annexe.]</small></ref>. | ||
Ces nouvelles circonscriptions s'imposent rapidement tant sur le plan administratif que pour la géo-localisation dans la capitale. A cet égard, les [[Numérotation_des_maisons_à_Paris_1788-1810#Le_syst.C3.A8me_sectionnaire|nouvelles numérotations]] des immeubles instaurées par les décrets des 20, 22 et 23 novembre 1790 à vocation fiscale< | Ces nouvelles circonscriptions s'imposent rapidement tant sur le plan administratif que pour la géo-localisation dans la capitale. A cet égard, les [[Numérotation_des_maisons_à_Paris_1788-1810#Le_syst.C3.A8me_sectionnaire|nouvelles numérotations]] des immeubles instaurées par les décrets des 20, 22 et 23 novembre 1790 à vocation fiscale<ref><small>''Archives Parlementaires'', t. 20, p. 698-721.</small></ref> bouleversent les repères les pratiques quotidiennes des parisiens et compliquent la tâche des historiens, géographes et généalogistes. | ||
Les sections, au cœur des moyens de géo-localisation de la période révolutionnaire, sont repérées dans ce wiki par leur nom d'usage le plus courant dans les almanachs et actes de l'époque. Les variantes ont été indiquées pour faciliter les correspondances en fonction des sources. | Les sections, au cœur des moyens de géo-localisation de la période révolutionnaire, sont repérées dans ce wiki par leur nom d'usage le plus courant dans les almanachs et actes de l'époque. Les variantes ont été indiquées pour faciliter les correspondances en fonction des sources. |
Version du 10 octobre 2018 à 19:26
L'Assemblée Constituante par un décret du 22 juin 1790 divise Paris en 48 sections dont les limites sont précisées par les annexes à ce décret [1].
Ces nouvelles circonscriptions s'imposent rapidement tant sur le plan administratif que pour la géo-localisation dans la capitale. A cet égard, les nouvelles numérotations des immeubles instaurées par les décrets des 20, 22 et 23 novembre 1790 à vocation fiscale[2] bouleversent les repères les pratiques quotidiennes des parisiens et compliquent la tâche des historiens, géographes et généalogistes.
Les sections, au cœur des moyens de géo-localisation de la période révolutionnaire, sont repérées dans ce wiki par leur nom d'usage le plus courant dans les almanachs et actes de l'époque. Les variantes ont été indiquées pour faciliter les correspondances en fonction des sources.
N° | Nom d'usage | Autres n° | Autres noms |
---|---|---|---|
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule | Texte de la cellule |
Notes et références
- ↑ Archives Parlementaires, t. 16, p. 418-437. Lire en ligne le texte de l'annexe.
- ↑ Archives Parlementaires, t. 20, p. 698-721.