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La projet "Localisations parisiennes de la fin de l'Ancien Régime | La projet "Localisations parisiennes (1780-1810)", soit de la fin de l'Ancien Régime au déclin de l'Empire, est né en 2017 d'une initiative de Dominique Waquet à partir de ses travaux sur la concordance des numéros d'immeubles parisiens entre le numérotage de type royal, le numérotage de type sectionnaire et le numérotage de type impérial. Ce projet bénéficie des apports scientifiques et des concours techniques de [http://crh.ehess.fr/index.php?174 Maurizio Gribaudi], directeur d'études à l'EHESS, [http://crh.ehess.fr/index.php?532 Stéphane Baciocchi], ingénieur de recherche au Laboratoire de démographie historique et d’histoire sociale de l'EHESS, [http://crh.ehess.fr/index.php?5206 Bertrand Duménieu], ingénieur d'études à l'EHESS, tous trois promoteurs du projet geohistoricaldata, sur lequel vient se greffer le projet Localisations parisiennes. | ||
==Présentation du projet== | ==Présentation du projet== | ||
Le projet | Le projet "Localisations parisiennes (1780-1810)" vise à recenser progressivement tous les immeubles parisiens, rue par rue, leurs occupants, leurs propriétaires, au cours de cette période particulièrement mouvementée, d'une trentaine d'années, qui va de la fin de l'Ancien régime au déclin du Premier Empire. | ||
Ce vaste projet peut se nourrir d'une masse imposante de sources documentaires, de plus en plus | Ce vaste projet peut se nourrir d'une masse imposante de sources documentaires, de plus en plus disponibles en consultation libre et immédiate sur internet. Il exige néanmoins une très grande rigueur tant dans la collecte et l'exploitation des données que dans leur mise en concordance dans les parcelles cadastrales parisiennes cartographiées et matérialisées à partir de 1810. La parcelle cadastrale de type Empire est en effet l'unité ici retenue pour présenter ces localisations. | ||
L'ampleur du projet, au-delà du premier cas traité ici des localisations dans la rue Saint-Honoré, nécessite le concours de nombreux contributeurs. Le travail collaboratif permet des progressions rapides et massives comme on peut le constater par exemple dans les recherches généalogiques. | L'ampleur du projet, au-delà du premier cas traité ici des localisations dans la rue Saint-Honoré, nécessite le concours de nombreux contributeurs. Le travail collaboratif permet des progressions rapides et massives comme on peut le constater par exemple dans les recherches généalogiques. |
Version du 24 mai 2018 à 19:13
La projet "Localisations parisiennes (1780-1810)", soit de la fin de l'Ancien Régime au déclin de l'Empire, est né en 2017 d'une initiative de Dominique Waquet à partir de ses travaux sur la concordance des numéros d'immeubles parisiens entre le numérotage de type royal, le numérotage de type sectionnaire et le numérotage de type impérial. Ce projet bénéficie des apports scientifiques et des concours techniques de Maurizio Gribaudi, directeur d'études à l'EHESS, Stéphane Baciocchi, ingénieur de recherche au Laboratoire de démographie historique et d’histoire sociale de l'EHESS, Bertrand Duménieu, ingénieur d'études à l'EHESS, tous trois promoteurs du projet geohistoricaldata, sur lequel vient se greffer le projet Localisations parisiennes.
Présentation du projet
Le projet "Localisations parisiennes (1780-1810)" vise à recenser progressivement tous les immeubles parisiens, rue par rue, leurs occupants, leurs propriétaires, au cours de cette période particulièrement mouvementée, d'une trentaine d'années, qui va de la fin de l'Ancien régime au déclin du Premier Empire.
Ce vaste projet peut se nourrir d'une masse imposante de sources documentaires, de plus en plus disponibles en consultation libre et immédiate sur internet. Il exige néanmoins une très grande rigueur tant dans la collecte et l'exploitation des données que dans leur mise en concordance dans les parcelles cadastrales parisiennes cartographiées et matérialisées à partir de 1810. La parcelle cadastrale de type Empire est en effet l'unité ici retenue pour présenter ces localisations.
L'ampleur du projet, au-delà du premier cas traité ici des localisations dans la rue Saint-Honoré, nécessite le concours de nombreux contributeurs. Le travail collaboratif permet des progressions rapides et massives comme on peut le constater par exemple dans les recherches généalogiques.
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- Localisations parisiennes (1780-1810)