« Rue Saint-Honoré - Parcelle n°371 (Empire) » : différence entre les versions

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[[Fichier:Assomption_XVIIIe.jpg|200px|thumb|right|Chapelle de l'Assomption, ca 1710]]
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{{Parcelle_Empire
 
 
Terrier du Roi, parcelle n°264 (en partie).
 
Portes n°412, 413.
 
n°19 (Tuileries).
 
n°371 (Empire). Taxil fait correspondre le n°371 impérial de 1834, devenu n°265 en 1903, avec le n°412, ''ancien'', c'est à dire de type royal.
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1=Terrier du Roi, parcelle n°264 (en partie).
n°265 (Cadastre de Paris parcelle BD 65).
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« C'est dans le Couvent des Dames de l'Assomption que se retiraient certaines dames de la Cour sous l'ancien régime. » (Hillairet). Le bâtiment conventuel est transformé en caserne en 1793, puis détruit. L'église devient lieu de stockage de décors et retrouve sa destination première sous l'Empire. Subsistent encore, à l'angle de l'actuelle r. Cambon, la chapelle, devenue église Sainte-Madeleine, depuis 1850 église des Polonais résidant à Paris, et le bâtiment de deux étages, situé aujourd'hui au n° 263 bis [actuel] de la r. Saint-Honoré, le long de l'église (Delarc, ''L'Église'', t. 2 p. 287).  
2=Portes n°412, 413.
 
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Dames de l'Assomption
3=n°19 (Tuileries).
 
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« Maison des Dames de l'Assomption, n°19 et 371 nouveau (porte en note Add. "N° 412"), vendue le 4 avril 1791 au Cn Blaise Desgoffes, Md de vins, terrasse des Feuillants, louée à la Ctne Senozan. » ''Sommier des Biens Nationaux'', Art. 146, p. 35.
4=n°371 (Empire). Taxil fait correspondre le n°371 impérial de 1834, devenu n°265 en 1903, avec le n°412, ''ancien'', c'est à dire de type royal.
 
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Des Gauffres** [Desgoffes] AN, F/31/7/199.
5=n°265 (Cadastre de Paris parcelle BD 65).
 
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6=« C'est dans le Couvent des Dames de l'Assomption que se retiraient certaines dames de la Cour sous l'ancien régime. » (Hillairet). Le bâtiment conventuel est transformé en caserne en 1793, puis détruit. L'église devient lieu de stockage de décors et retrouve sa destination première sous l'Empire. Subsistent encore, à l'angle de l'actuelle r. Cambon, la chapelle, devenue église Sainte-Madeleine, depuis 1850 église des Polonais résidant à Paris, et le bâtiment de deux étages, situé aujourd'hui au n° 263 bis [actuel] de la r. Saint-Honoré, le long de l'église (Delarc, ''L'Église'', t. 2 p. 287).  
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7=Dames de l'Assomption
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8= « Maison des Dames de l'Assomption, n°19 et 371 nouveau (porte en note Add. "N° 412"), vendue le 4 avril 1791 au Cn Blaise Desgoffes, Md de vins, terrasse des Feuillants, louée à la Ctne Senozan. » ''Sommier des Biens Nationaux'', Art. 146, p. 35.
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9=Des Gauffres** [Desgoffes] AN, F/31/7/199.
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* Les Dames de l'Assomption jusqu'à leur expulsion, en 1791, en particulier Mmes Le Coq, supérieure, Deschenets et de Laistre, conseillères, de Beyne de Neuville, vicaire, Graverie, secrétaire. (Delarc, ''L'Église'', t. 2 p. 288).
* Les Dames de l'Assomption jusqu'à leur expulsion, en 1791, en particulier Mmes Le Coq, supérieure, Deschenets et de Laistre, conseillères, de Beyne de Neuville, vicaire, Graverie, secrétaire. (Delarc, ''L'Église'', t. 2 p. 288).
* 1788-1791 : n°412, Pardi, luthier (1788) (L. Grillet, ''Les ancêtres du violon et du violoncelle, les luthiers et les fabricants d’archets'', Paris, C. Schmid, 1901, t. 2, p. 290). N°413 (P) (H) M. d'Arnouville (L), Mmes et Delles d'Angivillers, d'Arnouville, de Noailles, Prébois, Richer-Serifis, Souchet, Taitbout.
* 1788-1791 : n°412, Pardi, luthier (1788) (L. Grillet, ''Les ancêtres du violon et du violoncelle, les luthiers et les fabricants d’archets'', Paris, C. Schmid, 1901, t. 2, p. 290). N°413 (P) (H) M. d'Arnouville (L), Mmes et Delles d'Angivillers, d'Arnouville, de Noailles, Prébois, Richer-Serifis, Souchet, Taitbout.
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* 1806: Lepron, boucher.
* 1806: Lepron, boucher.
* 1807 : Nollet.
* 1807 : Nollet.
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12= Du texte inutile qui ne sert qu'à donner un exemple de citation
<ref> Un petit exemple de référence très simple, avec [http://geohistoricaldata.org un lien externe]</ref>
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Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). Plusieurs systèmes de numérotation se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Leurs principes respectifs sont présentés à la page [[Numérotation des maisons à Paris 1788-1810]].
Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). Plusieurs systèmes de numérotation se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Leurs principes respectifs sont présentés à la page [[Numérotation des maisons à Paris 1788-1810]].
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[[Category:Rue Saint-Honoré (Paris 1780-1810)| 0371]]
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==Résidents==
* '''Courtois''', Edme-Bonaventure, receveur d'Arcis-sur-Aube, député de l'Aube à l'Assemblée Nationale Législative, réside initialement
==Notes et références==

Version du 23 mars 2019 à 18:49

Chapelle de l'Assomption, ca 1710


Terrier du Roi, parcelle n°264 (en partie).

Portes n°412, 413.

n°19 (Tuileries).

n°371 (Empire). Taxil fait correspondre le n°371 impérial de 1834, devenu n°265 en 1903, avec le n°412, ancien, c'est à dire de type royal. | n°265 (Cadastre de Paris parcelle BD 65). « C'est dans le Couvent des Dames de l'Assomption que se retiraient certaines dames de la Cour sous l'ancien régime. » (Hillairet). Le bâtiment conventuel est transformé en caserne en 1793, puis détruit. L'église devient lieu de stockage de décors et retrouve sa destination première sous l'Empire. Subsistent encore, à l'angle de l'actuelle r. Cambon, la chapelle, devenue église Sainte-Madeleine, depuis 1850 église des Polonais résidant à Paris, et le bâtiment de deux étages, situé aujourd'hui au n° 263 bis [actuel] de la r. Saint-Honoré, le long de l'église (Delarc, L'Église, t. 2 p. 287).

Dames de l'Assomption

« Maison des Dames de l'Assomption, n°19 et 371 nouveau (porte en note Add. "N° 412"), vendue le 4 avril 1791 au Cn Blaise Desgoffes, Md de vins, terrasse des Feuillants, louée à la Ctne Senozan. » Sommier des Biens Nationaux, Art. 146, p. 35.

Des Gauffres** [Desgoffes] AN, F/31/7/199.

  • Les Dames de l'Assomption jusqu'à leur expulsion, en 1791, en particulier Mmes Le Coq, supérieure, Deschenets et de Laistre, conseillères, de Beyne de Neuville, vicaire, Graverie, secrétaire. (Delarc, L'Église, t. 2 p. 288).
  • 1788-1791 : n°412, Pardi, luthier (1788) (L. Grillet, Les ancêtres du violon et du violoncelle, les luthiers et les fabricants d’archets, Paris, C. Schmid, 1901, t. 2, p. 290). N°413 (P) (H) M. d'Arnouville (L), Mmes et Delles d'Angivillers, d'Arnouville, de Noailles, Prébois, Richer-Serifis, Souchet, Taitbout.
  • 1791 : Desgoffes prop. Md de vin (1791), M. d'Invau, ancien ministre d’État (L) (P) (H), Mme Senozan, Anne-Nicole de Lamoignon de Malesherbes (Paris, 1718 - Paris, 1794), veuve du marquis Jean Antoine Olivier de Sénozan, locataire de Desgoffes.
  • 1798 : Laloué, épicier ; Vivin, loueur de voiture.
  • 1804-1806 : Pitard (et an XII), tapissier, Md de meubles (Pitard, tapissier - miroitier, "maison attenante à l'Assomption" N°19, Facture de 1804, BHVP).
  • 1806: Lepron, boucher.
  • 1807 : Nollet.


Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). Plusieurs systèmes de numérotation se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Leurs principes respectifs sont présentés à la page Numérotation des maisons à Paris 1788-1810. {{#set:ghd=http://geohistoricaldata.org}}

Résidents

  • Courtois, Edme-Bonaventure, receveur d'Arcis-sur-Aube, député de l'Aube à l'Assemblée Nationale Législative, réside initialement

Notes et références