« Rue Saint-Jean-de-Beauvais - Parcelle n°18 (Empire) » : différence entre les versions

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! Type (période) !! Terrier (avant 1789) !! Royal (1780-1791) !! Sectionnaire (1791-1805) !! Empire (depuis 1806) !! Actuel
! Type (période) !! Terrier (avant 1789) !! Royal (1780-1791) !! Sectionnaire (1791-1805) !! Empire (depuis 1806) !! Actuel
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| '''Numéro''' || n°11 et 12 || n°  || || n°18 <ref><small></small></ref>|| n°XX <ref><small>Le parcellaire du début du XIXe siècle a été complétement bouleversé par le percement du [https://fr.wikipedia.org/wiki/Boulevard_Saint-Germain boulevard Saint-Germain] et des rues adjacentes. Il n'y a plus de correspondance entre les immeubles actuels et ceux du XVIIIe siècle.</small></ref>
| '''Numéro''' || n°11 et 12 || n°  || n°28 || n°18 <ref><small>Les numéros figurant sur le plan du cadastre Vasserot sont décalés par rapport aux parcelles.</small></ref>|| n°XX <ref><small>Le parcellaire du début du XIXe siècle a été complétement bouleversé par le percement du [https://fr.wikipedia.org/wiki/Boulevard_Saint-Germain boulevard Saint-Germain] et des rues adjacentes. Il n'y a plus de correspondance entre les immeubles actuels et ceux du XVIIIe siècle.</small></ref>
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| '''Rattachement''' || [[Censive de Saint-Jean-de-Latran (Paris 1789)|Censive Saint-Jean-de-Latran]] <ref><small> Voir la feuille du terrier de la Censive</small></ref> || [[Paroisse Saint-Étienne-du-Mont (Paris 1789)|Saint-Étienne-du-Mont]] || [[Section Panthéon-Français (Paris 1790)]] || [[12e arrondissement (Paris 1795-1859)|12e Arrdt (ancien)]] <ref><small>Quartier Saint-Jacques ; Ilot 19 (AN, F/31 ). [http://wiki.geohistoricaldata.org/images/d/d7/1810-1836_Ilot_de_l%27enclos%2C_planche_du_plan_Vasserot.jpg Voir le plan parcellaire 1810-1836. Les numéros y sont décalés et en peuvent servir de repères.]</small></ref> || 5ème Arrondissement
| '''Rattachement''' || [[Censive de Saint-Jean-de-Latran (Paris 1789)|Censive Saint-Jean-de-Latran]] <ref><small> Voir la feuille du terrier de la Censive</small></ref> || [[Paroisse Saint-Étienne-du-Mont (Paris 1789)|Saint-Étienne-du-Mont]] || [[Section Panthéon-Français (Paris 1790)]] || [[12e arrondissement (Paris 1795-1859)|12e Arrdt (ancien)]] <ref><small>Quartier Saint-Jacques ; Ilot 19 (AN, F/31/96/43). [http://wiki.geohistoricaldata.org/images/d/d7/1810-1836_Ilot_de_l%27enclos%2C_planche_du_plan_Vasserot.jpg Voir le plan parcellaire 1810-1836. Les numéros y sont décalés et en peuvent servir de repères.]</small></ref> || 5ème Arrondissement
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===Correspondance des numéros===
===Correspondance des numéros===
* Identité de la configuration des parcelles n°11 et 12 (Terrier) et n°18 (Empire).
* Identité de la configuration des parcelles n°11 et 12 (Terrier) et n°18 (Empire).
* Présence continue de Joseph-Gaspard Gillé de 1794 au n° 28 (section) à 1825 au n°18 (Empire).
* Numérotage sectionnaire : Dans la Section Panthéon-Français le numérotage reprend la principe du numérotage de type Royal <ref><small>Chaque rue est indépendante des autres, les maisons sont numérotées de 1 à X d'un côté puis de l'autre X+1 en revenant au point de départ. Le problème est de trouver la maison portant le n°1 (Section)</small></ref>. La présence constante de Joseph-Gaspard '''Gillé''' de 1794 au n° 28 (section) à 1825 au n°18 (Empire) prouve ici la correspondance de ces deux numéros et permet de poser l'hypothèse d'un début de numérotage à l'ancien Collège de Lisieux devenu siège de la section.
* Faute de présence permanente d'autres occupants dans cette parcelle avant et après 1790, il est difficile de lui attribuer un ou plusieurs numéros de type royal.


==Caractéristiques==
==Caractéristiques==
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* '''Gillé''', Joseph, et son épouse Anne-Marie '''Thiriot'''.
* '''Gillé''', Joseph, et son épouse Anne-Marie '''Thiriot'''.


(AM Paris, DQ18_296, ''Sommier des biens immeubles, Quartier Saint-Jacques'', rue Saint-Jacques, N°2029 [barré], 43).
(AM Paris, DQ18_300, ''Sommier des biens immeubles, Quartier Saint-Jacques'', rue Saint-Jean-de-Beauvais, N°2029 [barré], 43).


<small>Joseph Gillé, graveur et fondeur du roy pour les caractères d'imprimerie demeure place de l'Estrapade en 1781 (AN, Y 5083B,''Registre des tutelles du 16 au 31 juillet 1781'', acte du 16 juillet 1781, f°35-42). Il est né à Pagny-sur-Meuse (Meuse) en 1731, arrivé à Paris en 1750, il demeure 12 [Section] place de l'Estrapade en 1793 (AN, F/7/4802, ''Registre des Cartes de Sûreté'', n°29, le 18 avril 1793).</small>
<small>Joseph Gillé, graveur et fondeur du roy pour les caractères d'imprimerie demeure place de l'Estrapade en 1781 (AN, Y 5083B,''Registre des tutelles du 16 au 31 juillet 1781'', acte du 16 juillet 1781, f°35-42). Il est né à Pagny-sur-Meuse (Meuse) en 1731, arrivé à Paris en 1750, il demeure 12 [Section] place de l'Estrapade en 1793 (AN, F/7/4802, ''Registre des Cartes de Sûreté'', n°29, le 18 avril 1793).</small>
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==Propriétaire(s) Révolution-Empire==
==Propriétaire(s) Révolution-Empire==
* '''Gillé''', Joseph, et son épouse Anne-Marie '''Thiriot'''.
* '''Gillé''', Joseph, et son épouse Anne-Marie '''Thiriot'''.
(AM Paris, DQ18_296, ''Sommier des biens immeubles, Quartier Saint-Jacques'', rue Saint-Jacques, N°2029 (barré), 43).
(AM Paris, DQ18_296, ''Sommier des biens immeubles, Quartier Saint-Jacques'', rue Saint-Jean-de-Beauvais, N°2029 (barré), 43).


==Propriétaires à partir de 1810==
==Propriétaires à partir de 1810==
* '''Gillé''', Joseph, et son épouse Anne-Marie '''Thiriot''', demeurant n°20, place de l'Estrapade. Au décès de Joesph Gillé, le 26 septembre 1820, la maison est transmise à son fils :
* '''Gillé''', Joseph, et son épouse Anne-Marie '''Thiriot''', demeurant n°20, place de l'Estrapade. Au décès de Joesph Gillé, le 26 septembre 1820, la maison est transmise à son fils :
* '''Gillé''', Joseph-Gaspard, imprimeur, y demeurant. Suite à la faillite de celui-ci, la maison est adjugée le 31 août 1825 à  
* '''Gillé''', Joseph-Gaspard, imprimeur, y demeurant. Suite à la faillite de celui-ci, la maison est adjugée le 31 août 1825 à  
* '''Callant''', Jacques-Michel-Salvator, et à Eulalie '''Gillé''' (?), son épouse, demeurant à Paris, n°3 rue des Charbonniers. Ces derniers vendent en 1856 à :
* '''Callaut''', Jacques-Michel-Salvator, et à Eulalie '''Gillé''', son épouse, demeurant à Paris, n°3 rue des Charbonniers. Ces derniers vendent en 1856 à :
* '''Pathier''', Étienne, corroyeur et son épouseJeanne-Virginie '''Monnot'''.
* '''Pathier''', Étienne, corroyeur et son épouse Jeanne-Virginie '''Monnot'''.


Maison expropriée par jugement du 8 janvier 1861.
Maison expropriée par jugement du 8 janvier 1861.


(AM Paris, DQ18_296, ''Sommier des biens immeubles, Quartier Saint-Jacques'', rue Saint-Jacques, N°2029 (barré), 43).
(AM Paris, DQ18_296, ''Sommier des biens immeubles, Quartier Saint-Jacques'', rue Saint-Jean-de-Beauvais, N°2029 (barré), 43).


==Occupants==
==Occupants==
*  
* '''Cabot''', Jeanne-Louise, épouse de Joseph-Gaspard '''Gillet''',
* '''Gillé''', Joseph-Gaspard, fondeur, noté au n°28 (Section), 1794, Carte de Sûreté), fondeur de caractère (en 1799, Delalain, p. 338 ; Alm. La Tynna, an X, an XIII), puis n°18 (Empire) (Alm. 1806, et suiv.).
 
<small>Joseph-Gaspard Gillé, fils de Joseph Gillé et Anne-Marie Thiriot est né à Paris en 1776. A 17 ans il est fondeur rue d'Enfer (AN, F/7/4807, ''Registre des cartes de sûreté'', n°149, 7 août 1793) et demeure 28 rue Jean-de-Beauvais l'année suivante (AN, F/7/4803, ''Registre des cartes de sûreté de la section du Panthéon-Français'', n°30, 27 juillet 1794). Il épouse, en 1794, Jeanne-Louise Cabot avec qui il a au moins deux enfants : Eulalie Gillé, née le 7 décembre 1795, baptisée le 14 décembre 1795 à Saint-Etienne-du-Mont (Registre paroissial de Saint-Etienne-du-Mont) et Charles Gillé, baptisé le 23 septembre 1797 à l'oratoire de la rue Mignon (Registre f°15/134).
 
J.-G. Gillé et son épouse modifient leur régime matrimonial par « Renonciation de Jeanne-Louise Cabot, femme de Joseph-Gaspard Gillet, fondeur en caractère, demeurant à Paris, rue Jean-de-Beauvais, [s. n°] à la communauté de biens d'entre elle et son mari. » (''Journal du Palais'', n°12, 30 brumaire an 9 [21 novembre 1800], p. 8).
 
J.-G. Gillé fait faillite en 1825 et la maison est rachetée par sa fille Eulalie (AM Paris, DQ18_296, voir ci-dessus).</small>
* '''Gillé''', Eulalie, peintre portraitiste, notée n°18 (Empire) (Alm. Com., 1820 p. 591).
 
<small>Eulalie Gillé, fille de J.-G. Gillé et Jeanne-Louise Cabot, est peintre portraitiste. Elle et son époux rachètent cette maison en 1825 (voir ci-dessus).
 
« CALLAUT (Mme née GILLÉ), peintre français. - Salons 1824, 1827, 1831, 1835. Miniatures - Salon 1838. Portrait de la Reine des Belges, miniature. S. 1843. Miniatures. CALLAULT (Melle Marie-Juliette), peintre, fille et élève de la précédente, Mme Verroust. » (Louis Auvray, ''Dictionnaire général des artistes de l'école française'', Paris, Renouard, 1885, t. 1 p. 189 col. 2, p. 190 col1). Voir en ligne sur Gallica</small>


==Résidents==
==Résidents==
==Sources spécifiques==


==Visiter les parcelles voisines==
==Visiter les parcelles voisines==
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| || '''Parcelles en vis-à-vis côté Est''' ||
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| Parcelle n° ? (Empire) || Parcelle n° ? (Empire) || Parcelle n°? - 1 (Empire)
| n°5 (Empire) || n°7 (Empire) || n°9 (Empire)
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Dernière version du 23 janvier 2019 à 11:59

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Numéros successifs de la parcelle

Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Voir leurs principes respectifs.

Type (période) Terrier (avant 1789) Royal (1780-1791) Sectionnaire (1791-1805) Empire (depuis 1806) Actuel
Numéro n°11 et 12 n°28 n°18 [1] n°XX [2]
Rattachement Censive Saint-Jean-de-Latran [3] Saint-Étienne-du-Mont Section Panthéon-Français (Paris 1790) 12e Arrdt (ancien) [4] 5ème Arrondissement

Correspondance des numéros

  • Identité de la configuration des parcelles n°11 et 12 (Terrier) et n°18 (Empire).
  • Numérotage sectionnaire : Dans la Section Panthéon-Français le numérotage reprend la principe du numérotage de type Royal [5]. La présence constante de Joseph-Gaspard Gillé de 1794 au n° 28 (section) à 1825 au n°18 (Empire) prouve ici la correspondance de ces deux numéros et permet de poser l'hypothèse d'un début de numérotage à l'ancien Collège de Lisieux devenu siège de la section.
  • Faute de présence permanente d'autres occupants dans cette parcelle avant et après 1790, il est difficile de lui attribuer un ou plusieurs numéros de type royal.

Caractéristiques

Propriétaire(s) avant 1789

  • Lavigne,M., propriétaire de la parcelle n°11.
  • Thiéry, M. l'abbé, propriétaire de la parcelle n°12.

(1752, AN, N l Seine 35, Tableau pour l'intelligence du Plan).

  • Bénard la Morandière, Alexandre-Charles-Antoine, vend le 21 janvier 1781 à
  • Gillé, Joseph, et son épouse Anne-Marie Thiriot.

(AM Paris, DQ18_300, Sommier des biens immeubles, Quartier Saint-Jacques, rue Saint-Jean-de-Beauvais, N°2029 [barré], 43).

Joseph Gillé, graveur et fondeur du roy pour les caractères d'imprimerie demeure place de l'Estrapade en 1781 (AN, Y 5083B,Registre des tutelles du 16 au 31 juillet 1781, acte du 16 juillet 1781, f°35-42). Il est né à Pagny-sur-Meuse (Meuse) en 1731, arrivé à Paris en 1750, il demeure 12 [Section] place de l'Estrapade en 1793 (AN, F/7/4802, Registre des Cartes de Sûreté, n°29, le 18 avril 1793).

Propriétaire(s) Révolution-Empire

  • Gillé, Joseph, et son épouse Anne-Marie Thiriot.

(AM Paris, DQ18_296, Sommier des biens immeubles, Quartier Saint-Jacques, rue Saint-Jean-de-Beauvais, N°2029 (barré), 43).

Propriétaires à partir de 1810

  • Gillé, Joseph, et son épouse Anne-Marie Thiriot, demeurant n°20, place de l'Estrapade. Au décès de Joesph Gillé, le 26 septembre 1820, la maison est transmise à son fils :
  • Gillé, Joseph-Gaspard, imprimeur, y demeurant. Suite à la faillite de celui-ci, la maison est adjugée le 31 août 1825 à
  • Callaut, Jacques-Michel-Salvator, et à Eulalie Gillé, son épouse, demeurant à Paris, n°3 rue des Charbonniers. Ces derniers vendent en 1856 à :
  • Pathier, Étienne, corroyeur et son épouse Jeanne-Virginie Monnot.

Maison expropriée par jugement du 8 janvier 1861.

(AM Paris, DQ18_296, Sommier des biens immeubles, Quartier Saint-Jacques, rue Saint-Jean-de-Beauvais, N°2029 (barré), 43).

Occupants

  • Cabot, Jeanne-Louise, épouse de Joseph-Gaspard Gillet,
  • Gillé, Joseph-Gaspard, fondeur, noté au n°28 (Section), 1794, Carte de Sûreté), fondeur de caractère (en 1799, Delalain, p. 338 ; Alm. La Tynna, an X, an XIII), puis n°18 (Empire) (Alm. 1806, et suiv.).

Joseph-Gaspard Gillé, fils de Joseph Gillé et Anne-Marie Thiriot est né à Paris en 1776. A 17 ans il est fondeur rue d'Enfer (AN, F/7/4807, Registre des cartes de sûreté, n°149, 7 août 1793) et demeure 28 rue Jean-de-Beauvais l'année suivante (AN, F/7/4803, Registre des cartes de sûreté de la section du Panthéon-Français, n°30, 27 juillet 1794). Il épouse, en 1794, Jeanne-Louise Cabot avec qui il a au moins deux enfants : Eulalie Gillé, née le 7 décembre 1795, baptisée le 14 décembre 1795 à Saint-Etienne-du-Mont (Registre paroissial de Saint-Etienne-du-Mont) et Charles Gillé, baptisé le 23 septembre 1797 à l'oratoire de la rue Mignon (Registre f°15/134).

J.-G. Gillé et son épouse modifient leur régime matrimonial par « Renonciation de Jeanne-Louise Cabot, femme de Joseph-Gaspard Gillet, fondeur en caractère, demeurant à Paris, rue Jean-de-Beauvais, [s. n°] à la communauté de biens d'entre elle et son mari. » (Journal du Palais, n°12, 30 brumaire an 9 [21 novembre 1800], p. 8).

J.-G. Gillé fait faillite en 1825 et la maison est rachetée par sa fille Eulalie (AM Paris, DQ18_296, voir ci-dessus).

  • Gillé, Eulalie, peintre portraitiste, notée n°18 (Empire) (Alm. Com., 1820 p. 591).

Eulalie Gillé, fille de J.-G. Gillé et Jeanne-Louise Cabot, est peintre portraitiste. Elle et son époux rachètent cette maison en 1825 (voir ci-dessus).

« CALLAUT (Mme née GILLÉ), peintre français. - Salons 1824, 1827, 1831, 1835. Miniatures - Salon 1838. Portrait de la Reine des Belges, miniature. S. 1843. Miniatures. CALLAULT (Melle Marie-Juliette), peintre, fille et élève de la précédente, Mme Verroust. » (Louis Auvray, Dictionnaire général des artistes de l'école française, Paris, Renouard, 1885, t. 1 p. 189 col. 2, p. 190 col1). Voir en ligne sur Gallica

Résidents

Visiter les parcelles voisines

Parcelle contiguë vers le Nord Cette parcelle Parcelle contigüe vers le Sud
n°16 (Empire) n°18 (Empire) n°20 (Empire)
Parcelles en vis-à-vis côté Est
n°5 (Empire) n°7 (Empire) n°9 (Empire)

Notes et références

{{#set:ghd=http://geohistoricaldata.org}}

  1. Les numéros figurant sur le plan du cadastre Vasserot sont décalés par rapport aux parcelles.
  2. Le parcellaire du début du XIXe siècle a été complétement bouleversé par le percement du boulevard Saint-Germain et des rues adjacentes. Il n'y a plus de correspondance entre les immeubles actuels et ceux du XVIIIe siècle.
  3. Voir la feuille du terrier de la Censive
  4. Quartier Saint-Jacques ; Ilot 19 (AN, F/31/96/43). Voir le plan parcellaire 1810-1836. Les numéros y sont décalés et en peuvent servir de repères.
  5. Chaque rue est indépendante des autres, les maisons sont numérotées de 1 à X d'un côté puis de l'autre X+1 en revenant au point de départ. Le problème est de trouver la maison portant le n°1 (Section)