« Paroisse Notre-Dame-de-Lorette (Paris 1789) » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
| (Une version intermédiaire par le même utilisateur non affichée) | |||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
En 1789, la chapelle Notre-Dame de Lorette est | En 1789, la chapelle Notre-Dame de Lorette est une succursale de la paroisse Saint-Pierre de Montmartre, mais néanmoins desservie par un prêtre ayant rang de curé. | ||
Cette chapelle est érigée en siège de paroisse en application de la loi du 15 janvier 1791<ref><small>''Archives parlementaires'', tome 23, p. 202-205. [https://frda.stanford.edu/fr/catalog/qj170gb3259_00_0209 Voir en ligne.]</small></ref>, par les décrets des 4<ref><small>''A. P.'', t. 22, p. 739 et suiv.. [https://frda.stanford.edu/fr/catalog/qj170gb3259_00_0743 Lire en ligne].</small></ref> et 11 février 1791 qui fixent les nouvelles limites des 33 paroisses parisiennes instaurées à cette date. | Cette chapelle est érigée en siège de paroisse en application de la loi du 15 janvier 1791<ref><small>''Archives parlementaires'', tome 23, p. 202-205. [https://frda.stanford.edu/fr/catalog/qj170gb3259_00_0209 Voir en ligne.]</small></ref>, par les décrets des 4<ref><small>''A. P.'', t. 22, p. 739 et suiv.. [https://frda.stanford.edu/fr/catalog/qj170gb3259_00_0743 Lire en ligne].</small></ref> et 11 février 1791 qui fixent les nouvelles limites des 33 paroisses parisiennes instaurées à cette date. | ||
| Ligne 6 : | Ligne 6 : | ||
Le siège de la nouvelle paroisse est fixé à l'église Notre-Dame de Lorette. | Le siège de la nouvelle paroisse est fixé à l'église Notre-Dame de Lorette. | ||
Le territoire de cette paroisse est constitué par démembrement de ceux de la[[Paroisse Saint-Eustache (Paris | Le territoire de cette paroisse est constitué par démembrement de ceux de la[[Paroisse Saint-Eustache (Paris 1789)| paroisse saint Eustache]] et de la paroisse de Montmartre. Il est délimité, à partir du carrefour rue de la Chaussée d'Antin - rue Basse-du-Rempart, par le boulevard de la Chaussée d'Antin, vers l'Est, à gauche jusqu'à la rue Poissonnière ; la rue Poissonière vers le Nord puis la rue Sainte-Anne à gauche jusqu'aux murs de clôture, les murs de clôture jusqu'à la barrière de la rue de La Rochefoucauld ; cette dernière vers le Sud à gauche, puis vers l'Ouest un segement de la rue des Porcherons à gauche, jusqu'à la rue de la Chaussée-d'Antin ; celle-ci, vers le Sud à gauche jusqu'à l'intersection des boulevards de la Madeleine et de la Chaussée d'Antin. | ||
==Population== | ==Population== | ||
Dernière version du 25 août 2019 à 14:33
En 1789, la chapelle Notre-Dame de Lorette est une succursale de la paroisse Saint-Pierre de Montmartre, mais néanmoins desservie par un prêtre ayant rang de curé.
Cette chapelle est érigée en siège de paroisse en application de la loi du 15 janvier 1791[1], par les décrets des 4[2] et 11 février 1791 qui fixent les nouvelles limites des 33 paroisses parisiennes instaurées à cette date.
Siège et territoire
Le siège de la nouvelle paroisse est fixé à l'église Notre-Dame de Lorette.
Le territoire de cette paroisse est constitué par démembrement de ceux de la paroisse saint Eustache et de la paroisse de Montmartre. Il est délimité, à partir du carrefour rue de la Chaussée d'Antin - rue Basse-du-Rempart, par le boulevard de la Chaussée d'Antin, vers l'Est, à gauche jusqu'à la rue Poissonnière ; la rue Poissonière vers le Nord puis la rue Sainte-Anne à gauche jusqu'aux murs de clôture, les murs de clôture jusqu'à la barrière de la rue de La Rochefoucauld ; cette dernière vers le Sud à gauche, puis vers l'Ouest un segement de la rue des Porcherons à gauche, jusqu'à la rue de la Chaussée-d'Antin ; celle-ci, vers le Sud à gauche jusqu'à l'intersection des boulevards de la Madeleine et de la Chaussée d'Antin.
Population
La paroisse. (Voir, sur archive.org, le tome 1, le tome 2, le tome 3).</ref>.
Notes et références
L'origine des informations de cette page se trouve dans : Sources & Références (Paris 1780-1810)
- ↑ Archives parlementaires, tome 23, p. 202-205. Voir en ligne.
- ↑ A. P., t. 22, p. 739 et suiv.. Lire en ligne.