« Rue Saint-Honoré - Parcelle n°352 (Empire) » : différence entre les versions
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==Numéros successifs de la parcelle== | ==Numéros successifs de la parcelle== | ||
<small>Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. [[Numérotation des maisons à Paris 1788-1810 |Voir leurs principes respectifs]]. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. [[Rue Saint-Honoré (Paris) Parcelles et habitants Révolution-Empire |Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré]].</small> | <small>Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. [[Numérotation des maisons à Paris 1788-1810 |Voir leurs principes respectifs]]. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. [[Rue Saint-Honoré (Paris) Parcelles et habitants Révolution-Empire |Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré]].</small> | ||
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! Type (période) !! Terrier (avant 1780) !! Royal (1780-1791) !! Sectionnaire (1791-1805) !! Empire (depuis 1806) !! Actuel | |||
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| '''Numéro''' || n°36 || n°331 || n°1514 || n°352 || n°354 | |||
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| '''Rattachement''' || [http://wiki.geohistoricaldata.org/Fichier:Censive-Archev%C3%AAch%C3%A9-parc-1-23.JPG Terrier de l'Archevêché] || [[Paroisse Saint-Roch (Paris 1789) |Paroisse Saint-Roch]] || [[Section Butte-des-Moulins (Paris 1790)|Butte-des-Moulins]] || [[2e arrondissement (Paris 1795-1859)|2e Arrondissement (ancien)]] <ref><small>6ème Quartier, Palais-Royal ; Ilot 12 (AN, F/31/75/31). [http://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo4OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTgtMDYtMjQiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6MTU7czo0OiJyZWYyIjtpOjIyNzA7czoyMDoicmVmX2Fya19mYWNldHRlX2NvbmYiO3M6MTY6InBsYW5zcGFjZWxsYWlyZXMiO3M6ODoidHlwZV9pbWciO3M6Nzoiem9vbWlmeSI7czoxNjoidmlzaW9ubmV1c2VfaHRtbCI7YjoxO3M6MjE6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWxfbW9kZSI7czo0OiJwcm9kIjt9#uielem_rotate=F&uielem_islocked=0&uielem_zoomifyInfos=3769.5%2C2461.5%2C0.15925248832013&uielem_zoom=0 Voir le plan parcellaire en ligne].</small></ref> || 1er Arrondissement | |||
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===Correspondance des numéros=== | |||
=== | * La parcelle n°36 (Terrier) présente une configuration correspondant à la parcelle n°352 (Empire). | ||
* Présence continue de Moreau, gérant d'hôtel garni de 1794 au n°1514 (Butte) à 1806 au n°352 (Empire). | |||
==Caractéristiques== | ==Caractéristiques== | ||
« Gde et belle boutique à louer; n°1514, avec gde chambre à l'entresol, belle remise propre à un laboratoire ou à un dépôt de cave, le tout propre à un fayencier ou à un Md de draps ou de soiries, attendu que depuis la porte S. Honoré jusqu'à la Maison Égalité il n'y en a point dans le quartier. » (''Affiches'', 6 août 1793, p. 3324). | « Gde et belle boutique à louer; n°1514, avec gde chambre à l'entresol, belle remise propre à un laboratoire ou à un dépôt de cave, le tout propre à un fayencier ou à un Md de draps ou de soiries, attendu que depuis la porte S. Honoré jusqu'à la Maison Égalité il n'y en a point dans le quartier. » (''Affiches'', 6 août 1793, p. 3324). | ||
Maison du XVIIIe conservée. au n°354 (actuel), parcelle cadastrée AZ 13. | |||
==Propriétaire avant 1789== | ==Propriétaire avant 1789== | ||
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==Propriétaire Révolution-Empire== | ==Propriétaire Révolution-Empire== | ||
Vraisemblablement la famille Rouillet des Fontaines. A confirmer. | |||
==Propriétaire à partir de 1805== | ==Propriétaire à partir de 1805== | ||
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* '''Houdetot''', César-Claude, comte (1788-1791). | * '''Houdetot''', César-Claude, comte (1788-1791). | ||
<small>César-Claude Constant comte de Houdetot, (Paris, 1724 - Sannois, 1806), maréchal de camp, lieutenant général des Armées du Roi épouse, en 1748, à l'église Saint-Roch, '''Sophie Élisabeth Françoise de La Live de Bellegarde'''. Le couple loge initialement dans l'hôtel particulier | <small>César-Claude Constant comte de Houdetot, (Paris, 1724 - Sannois, 1806), maréchal de camp, lieutenant général des Armées du Roi épouse, en 1748, à l'église Saint-Roch, '''Sophie Élisabeth Françoise de La Live de Bellegarde'''. Le couple loge initialement dans l'hôtel particulier légué à Sophie par son père. Mais Sophie La Live vit le plus souvent séparée de son mari. (H. Buffenoir, ''La comtesse d'Houdetot, une amie de Jean-Jacques Rousseau'', Paris, Calmann-Lévy, 1907, 384 p. (Archives.org). (Geneanet, ''Jocelyne Acosta'', Wikipedia, Fondation Napoléon). | ||
César d'Houdetot bénéficie d'une pension sur le Trésor Royal depuis 1779 « en considération de ses services. » Cette pension s'élève à 6 000 livres en 1789 (''État des pensions'', Troisième classe, p. 359).</small> | César d'Houdetot bénéficie d'une pension sur le Trésor Royal depuis 1779 « en considération de ses services. » Cette pension s'élève à 6 000 livres en 1789 (''État des pensions'', Troisième classe, p. 359).</small> | ||
* '''Moreau''', ébéniste (1806). | * '''Moreau''', ébéniste (1806). | ||
* '''Moreau''', Hôtel garni (1806). | * '''Moreau''', Hôtel garni (1806). | ||
==Résidents== | |||
* '''Eschasseriaux (l'aîné)''', Joseph, administrateur du département, de Saintes, député de la Charente-Inférieure à l'Assemblée Nationale Législative, « hôtel du Prince Édouard, rue Neuve-du-Luxembourg » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-91, 8-92)]]. Membre de la Convention Nationale il est cité comme continuant initialement de demeurer à cette adresse ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-92, 4-93)]], puis n°1514 [Butte] rue Saint-Honoré ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-93, 12-94)]]. Membre du Conseil des Cinq-Cents, il réside encore initialement à cette adresse et enfin n°1274 rue du Marché près la rue d'Aguesseau ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|4-96, 12-98)]]. | |||
* '''Eschasseriaux (le jeune)''', René, député suppléant de la Charente-Inférieuren, en remplaçant Dechézeaux le 30 août 1793, il devient membre de la Convention Nationale et réside avec son frère aîné n°1514 [Butte] rue Saint-Honoré ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-93, 12-94)]]. Membre du Conseil des Cinq-Cents, il réside encore initialement à cette adresse et enfin n°1274 rue du Marché près la rue d'Aguesseau ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|4-96, 12-98)]]. | |||
* '''Niou''', Joseph, maire de Rochefort, député de la Charente-Inférieure à l'Assemblée Nationale Législative, initialement « chez Lottin, cour de la Sainte-Chapelle » puis « petit hôtel d'Arras, rue de l’Échelle-Saint-Honoré » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-91, 8-92)]] où, devenu membre de la Convention Nationale, il continue de résider jusqu'en 1794. Il est alors cité « rue Saint-Honoré, n°1514 (Butte) » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-92, 4-93, 12-93, 12-94]] et également dans ''l'Almanach National pur l'an II''). C'est aussi le lieu de sa résidence, noté comme « Maison Moreau, rue Saint-Honoré, n°1514 (Butte) » lors de la législature suivante lorsqu'il est membre du Conseil des Anciens ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|4-96, 12-98)]].. | |||
* '''Tellier''', Armand-Constant, ancien avocat au bailliage du Mans, député de la Seine-et-Marne à l'Assemblée Nationale Constituante, « n°30, rue Caumartin » ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|4-90)]]. Membre de la Convention Nationale il est cité comme continuant initialement de demeurer à cette adresse ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-92, 4-93)]], puis n°1514 [Butte] rue Saint-Honoré ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|12-93, 12-94)]]. Membre du Conseil des Anciens il réside ensuite n°14 rue des Saints-Pères puis n°580 rue de Lille ([[Localisations parisiennes (1780-1810) Sources imprimées#Membres des_assemblées parlementaires|4-96, 12-98)]]. | |||
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==Notes et références== | ==Notes et références== |
Dernière version du 15 avril 2019 à 11:35
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Numéros successifs de la parcelle
Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Voir leurs principes respectifs. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré.
Type (période) | Terrier (avant 1780) | Royal (1780-1791) | Sectionnaire (1791-1805) | Empire (depuis 1806) | Actuel |
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Numéro | n°36 | n°331 | n°1514 | n°352 | n°354 |
Rattachement | Terrier de l'Archevêché | Paroisse Saint-Roch | Butte-des-Moulins | 2e Arrondissement (ancien) [1] | 1er Arrondissement |
Correspondance des numéros
- La parcelle n°36 (Terrier) présente une configuration correspondant à la parcelle n°352 (Empire).
- Présence continue de Moreau, gérant d'hôtel garni de 1794 au n°1514 (Butte) à 1806 au n°352 (Empire).
Caractéristiques
« Gde et belle boutique à louer; n°1514, avec gde chambre à l'entresol, belle remise propre à un laboratoire ou à un dépôt de cave, le tout propre à un fayencier ou à un Md de draps ou de soiries, attendu que depuis la porte S. Honoré jusqu'à la Maison Égalité il n'y en a point dans le quartier. » (Affiches, 6 août 1793, p. 3324).
Maison du XVIIIe conservée. au n°354 (actuel), parcelle cadastrée AZ 13.
Propriétaire avant 1789
Rouillé des Fontaines depuis 1764 (Terrier, Atlas Pl. XII, t. II/1, p. 150).
Il pourrait s'agir d'Alexandre Rouillé des Fontaines, maréchal des logis (Al. Royal, 1773, p. 130), père de Basile Michel Rouillé des Fontaines (Paris, 1773 - 1859) (Geneanet, Jacques de Nailly).
Propriétaire Révolution-Empire
Vraisemblablement la famille Rouillet des Fontaines. A confirmer.
Propriétaire à partir de 1805
Rouillet des Fontaines, (AN, F/31/7/269).
Occupants
- Blainville (de), marquis (1788-1791).
- Boujon, Jean-Nicolas (1790).
Apposition de scellés après décès (Affiches, 8 août 1790, p. 2364).
- Cardeau, mercier (1803-1806).
- Dubray, chapelier (1803-1806).
- Guillaume, coiffeur (1798-1803).
- Houdetot, César-Claude, comte (1788-1791).
César-Claude Constant comte de Houdetot, (Paris, 1724 - Sannois, 1806), maréchal de camp, lieutenant général des Armées du Roi épouse, en 1748, à l'église Saint-Roch, Sophie Élisabeth Françoise de La Live de Bellegarde. Le couple loge initialement dans l'hôtel particulier légué à Sophie par son père. Mais Sophie La Live vit le plus souvent séparée de son mari. (H. Buffenoir, La comtesse d'Houdetot, une amie de Jean-Jacques Rousseau, Paris, Calmann-Lévy, 1907, 384 p. (Archives.org). (Geneanet, Jocelyne Acosta, Wikipedia, Fondation Napoléon).
César d'Houdetot bénéficie d'une pension sur le Trésor Royal depuis 1779 « en considération de ses services. » Cette pension s'élève à 6 000 livres en 1789 (État des pensions, Troisième classe, p. 359).
- Moreau, ébéniste (1806).
- Moreau, Hôtel garni (1806).
Résidents
- Eschasseriaux (l'aîné), Joseph, administrateur du département, de Saintes, député de la Charente-Inférieure à l'Assemblée Nationale Législative, « hôtel du Prince Édouard, rue Neuve-du-Luxembourg » (12-91, 8-92). Membre de la Convention Nationale il est cité comme continuant initialement de demeurer à cette adresse (12-92, 4-93), puis n°1514 [Butte] rue Saint-Honoré (12-93, 12-94). Membre du Conseil des Cinq-Cents, il réside encore initialement à cette adresse et enfin n°1274 rue du Marché près la rue d'Aguesseau (4-96, 12-98).
- Eschasseriaux (le jeune), René, député suppléant de la Charente-Inférieuren, en remplaçant Dechézeaux le 30 août 1793, il devient membre de la Convention Nationale et réside avec son frère aîné n°1514 [Butte] rue Saint-Honoré (12-93, 12-94). Membre du Conseil des Cinq-Cents, il réside encore initialement à cette adresse et enfin n°1274 rue du Marché près la rue d'Aguesseau (4-96, 12-98).
- Niou, Joseph, maire de Rochefort, député de la Charente-Inférieure à l'Assemblée Nationale Législative, initialement « chez Lottin, cour de la Sainte-Chapelle » puis « petit hôtel d'Arras, rue de l’Échelle-Saint-Honoré » (12-91, 8-92) où, devenu membre de la Convention Nationale, il continue de résider jusqu'en 1794. Il est alors cité « rue Saint-Honoré, n°1514 (Butte) » (12-92, 4-93, 12-93, 12-94 et également dans l'Almanach National pur l'an II). C'est aussi le lieu de sa résidence, noté comme « Maison Moreau, rue Saint-Honoré, n°1514 (Butte) » lors de la législature suivante lorsqu'il est membre du Conseil des Anciens (4-96, 12-98)..
- Tellier, Armand-Constant, ancien avocat au bailliage du Mans, député de la Seine-et-Marne à l'Assemblée Nationale Constituante, « n°30, rue Caumartin » (4-90). Membre de la Convention Nationale il est cité comme continuant initialement de demeurer à cette adresse (12-92, 4-93), puis n°1514 [Butte] rue Saint-Honoré (12-93, 12-94). Membre du Conseil des Anciens il réside ensuite n°14 rue des Saints-Pères puis n°580 rue de Lille (4-96, 12-98).
Visiter les parcelles voisines
Parcelle contiguë vers l'Ouest | Cette parcelle | Parcelle contigüe vers l'Est |
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Parcelles en vis-à-vis côté Sud | ||
Notes et références
Les sources et références générales du projet Localisations parisiennes 1780-1810 sont regroupées dans : Sources & Références (Paris 1780-1810). {{#set:ghd=http://geohistoricaldata.org}}
- ↑ 6ème Quartier, Palais-Royal ; Ilot 12 (AN, F/31/75/31). Voir le plan parcellaire en ligne.
- ↑ Le très petit segment de voie entre la rue Saint-Honoré et la quadrilatère de la place porte le nom de Place Vendôme avant de devenir le segment Nord de la rue de Castiglione après 1805.