« Rue Saint-Honoré - Parcelle n°89 (Empire) » : différence entre les versions
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* L'annonce publicitaire de Fain indique qu'il se trouve au n°666 ou 276 de la section. | * L'annonce publicitaire de Fain indique qu'il se trouve au n°666 ou 276 de la section. | ||
==Caractéristiques== | ==Caractéristiques== | ||
Maison XVIIIe démolie, reconstruite | Maison XVIIIe démolie, reconstruite dans la deuxième moitié du XIXe en retrait de l'alignement ancien, située sur la parcelle aujourd'hui cadastrée AT 95. | ||
==Propriétaire(s) avant 1789== | ==Propriétaire(s) avant 1789== | ||
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<small>Note : Voir aussi Callet drapier, non loin en face au n°72 (Empire) en 1806.</small> | <small>Note : Voir aussi Callet drapier, non loin en face au n°72 (Empire) en 1806.</small> | ||
[[Fichier:Catheux-draperie-89 1817-152x232px.jpeg|cadre|droite|Fact. Catheux 1817 (BHVP) [http://wiki.geohistoricaldata.org/Fichier:Catheux-draperie- | [[Fichier:Catheux-draperie-89 1817-152x232px.jpeg|cadre|droite|Fact. Catheux 1817 (BHVP) [http://wiki.geohistoricaldata.org/Fichier:Catheux-draperie-89_1817.jpg Agrandir]]] | ||
* '''Catheux''', drapier, n°89 (Empire) (1807, 1810, 1817). | * '''Catheux''', drapier, n°89 (Empire) (1807, 1810, 1817). | ||
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<small>Il est l'époux de Gertrude Mercken, artiste-peintre.</small> | <small>Il est l'époux de Gertrude Mercken, artiste-peintre.</small> | ||
* '''Fain''', négociant, n°666 (Royal) soit n°276 (Gardes) (1793). | * '''Fain''', négociant, n°666 (Royal) soit n°276 (Gardes) (1793). | ||
<small>A vendre « boutique, arrière-boutique, cour… rue des Écouffes, . S'adr. pour voir les lieux au locataire actuel et pour le prix au Cit. Fain, Négoc. Rue S. Honoré, près celle du Roule, à l'IMAGE DE SAINTE-GENEVIÈVE, n°666 ou 276 de la section. » (''Affiches'', n°199, 18 juillet 1793, p. 2997).<br/> | <small>A vendre « boutique, arrière-boutique, cour… rue des Écouffes, . S'adr. pour voir les lieux au locataire actuel et pour le prix au Cit. Fain, Négoc. Rue S. Honoré, près celle du Roule, à l'IMAGE DE SAINTE-GENEVIÈVE, n°666 ou 276 de la section. » (''Affiches'', n°199, 18 juillet 1793, p. 2997).<br/> | ||
[[Fichier:Loraux-toile-dentelles-ArbreSec 17XX-164-140px.jpg|cadre|droite|<small>Loraux, carte (BHVP) [http://wiki.geohistoricaldata.org/Fichier:Loraux-toile-dentelles-ArbreSec_17XX.JPG Agrandir].</small>]] | |||
Note : L'enseigne indiquée dans cette annonce étant aussi celle de Loraux, Fain est peut-être son successeur.</small> | Note : L'enseigne indiquée dans cette annonce étant aussi celle de Loraux, Fain est peut-être son successeur.</small> | ||
* '''Lallemand''', médecin, n°89 (Empire) (1808). | * '''Lallemand''', médecin, n°89 (Empire) (1808). | ||
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* '''Loraux''' (noté Leros), marchand de toiles et lingeries, n°667 (Royal) (1788). | |||
<small>Il s'agit très vraisemblablement de Michel Loraux, ancien négociant, demeurant rue Saint-Honoré, intervenant à l'acte du 16 novembre 1789, grand oncle maternel des mineures Dubois et oncle de Marie-Geneviève Naveau, cette dernière épouse de '''J.-R. Crochard''', Md mercier. (AN, ''Registre des Tutelles du 15 au 30 novembre 1789'', Y5184 B, f°28).</small> | <small>Il s'agit très vraisemblablement de Michel Loraux, ancien négociant, demeurant rue Saint-Honoré, intervenant à l'acte du 16 novembre 1789, grand oncle maternel des mineures Dubois et oncle de Marie-Geneviève Naveau, cette dernière épouse de '''J.-R. Crochard''', Md mercier. (AN, ''Registre des Tutelles du 15 au 30 novembre 1789'', Y5184 B, f°28).</small> | ||
« À SAINTE GENEVIÈVE, rue St Honoré, entre la rue du Roule et celle de l'Arbre-Sec, la porte cochère dans le fond de la cour, LORAUX, tient magasin de toutes sortes de dentelles, toiles, mousselines, linge de table. » s. n° (Carte commerciale, s. d., BHVP, | <small>« À SAINTE GENEVIÈVE, rue St Honoré, entre la rue du Roule et celle de l'Arbre-Sec, la porte cochère dans le fond de la cour, LORAUX, tient magasin de toutes sortes de dentelles, toiles, mousselines, linge de table. » s. n° (Carte commerciale, s. d., BHVP, Éphémères).</small> | ||
* ''' | [[Fichier:89-StHonoré-cartecommerciale 1780.png|350px|thumb|centré|<center><small>Carte commerciale (avant 1789. [http://parismuseescollections.paris.fr/fr/node/390283#infos-principales Musée Carnavalet]).</small></center>]] | ||
[[Fichier:Mercken-piano-RosalieDuplant FrAn Vincent-168-220px.jpg|cadre|droite|<small>R. Duplant joue un piano Mercken (F.A. Vincent) Mus. Gulbenkian (CC) [http://wiki.geohistoricaldata.org/Fichier:Mercken-piano-RosalieDuplant_FrAn_Vincent.jpg Agrandir.]</small>]] | |||
* '''Mercken ''' (noté ici Marken), Johanes-Kilianus, facteur de pianos, n°276 (Gardes), n°89 (Empire) (1806). | |||
<small>Il | <small>Johanes-Kilianus Mercken (1743-1819), premier facteur parisien de forte-piano, originaire d’Allemagne, s’installe à Paris comme facteur vers 1767 initialement dans l'enceinte de l'hôpital des Quinze-Vingts, rue Saint-Honoré puis rue du Chantre et n°666 rue Saint-Honoré vers 1791. Il est membre de la corporation des Tabletiers-Luthiers-Éventaillistes en 1776 dont il est le dernier syndic en 1789. Après 1789, Mercken n’est plus mentionné comme facteur de clavecins, mais comme facteur de forte-pianos, seul type d’instrument qu’il semble avoir construit. Il forma un élève, Paul Guillaume Dacweiller (1750-1801). Plusieurs tableaux représentent un piano-forte de Mercken. Il quitte Paris rejoindre à Versailles, rue d'Anjou, sa fille et son gendre Eigenschenck vers 1808. Son deuxième gendre Beckers, facteur de harpes, lui succède rue Saint-Honoré puis n°3 rue du Roule en 1818. | ||
Bibliographie : | |||
* Anonyme, « Mercken » , ''Facteurs de piano en France de 1700 à 1799''. ([http://www.lieveverbeeck.eu/pianos_francais_1700_1799.htm Voir notice détaillée et illustrée en ligne, par défilement à la date de 1770]) | |||
* Marie-Christine et Jean-François Weber, ''J. K. Mercken premier facteur parisien de forte-pianos'', Paris, Delatour, 2008. | |||
Note : Mercken, est cité dans la maison voisine en 1798.</small> | |||
* '''Mercken''', Gertrude, artiste-peintre, élève de Regnault, n°276 (Gardes) (''Artistes'', 1801). | * '''Mercken''', Gertrude, artiste-peintre, élève de Regnault, n°276 (Gardes) (''Artistes'', 1801). | ||
<small>Fille de Mercken | <small>Fille de J.-K. Mercken, et épouse de Henri-Joseph Eigenschenck (orthogaphié Etgenschens dans les almanachs), violoniste (Geneanet).</small> | ||
* '''Naveau''', Marie-Geneviève, épouse de Jean-René Crochard. | * '''Naveau''', Marie-Geneviève, épouse de Jean-René Crochard. | ||
* '''Paillard''', Juré crieur, n°666 (Royal).((Al. Royal, 1791, p. 657). | * '''Paillard''', Antoine-Firmin, Juré crieur, n°666 (Royal).((Al. Royal, 1791, p. 657). | ||
<small>Antoine-Firmin Paillard est un ami de [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°343 (Empire)|Jean-Jacques Caumont]] et de sa sœur [[Rue de Seine - Parcelle n°19 (Empire)|Jeanne-Geneviève Caumont]], vve de Pierre Riffault-Olivier, demeurant rue de Seine (AN, Y 5083A, acte du 3 juillet 1781, ''Registre des tutelles du 1er au 15 juillet 1781'', f°67 ; Y 5143 A, acte du 5 juillet 1786, ''Registre des tutelles du 1er au 15 juillet 1786'', f°442).</small> | |||
* '''Paquet''', tailleur, n°276 (Gardes) (1798). | * '''Paquet''', tailleur, n°276 (Gardes) (1798). | ||
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==Bibliographie== | |||
Chastel, André et Mallet, Françoise, ''L'ilot de la rue du Roule et ses abords'', Paris, Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et l'Ile-de-France, Coll. Paris et Ile-de-France, Mémoires, Extraits des t. XVI-XVII, 1965-1966, 130 p., 15 cartes et tableaux dépliants, XX pl. H.T. | |||
==Notes et références== | ==Notes et références== | ||
Les sources et références générales du projet [[Localisations parisiennes (1780-1810) Le projet |''Localisations parisiennes 1780-1810'']] sont regroupées dans : [[Sources & Références (Paris 1780-1810)]] | Les sources et références générales du projet [[Localisations parisiennes (1780-1810) Le projet |''Localisations parisiennes 1780-1810'']] sont regroupées dans : [[Sources & Références (Paris 1780-1810)]] |
Dernière version du 24 décembre 2019 à 17:44
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Numéros successifs de la parcelle
Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Voir leurs principes respectifs. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré.
Type (période) | Terrier (avant 1780) | Royal (1780-1791) | Sectionnaire (1791-1805) | Empire (depuis 1806) | Actuel |
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Numéro | n°435 | n° 665-667 | n°276 | n°89 | n°89 |
Rattachement | Censive des abbesses de Montmartre [1] | Paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois | Section des Gardes Françaises | 4e Arrondissement (ancien) [2] | 1er Arrondissement |
Concordance des numéros
- Cette maison indiquée « à porte cochère » dans le terrier, correspond bien au n°89 (Empire) lui-même doté d'une porte cochère, la deuxième en venant de la rue du Roule, la première se trouvant au n°83 comme on le constate sur le cadastre de 1810, ce qui n'est plus possible de nos jours cette maison ayant été démolie au XIXe. Cette caractéristique confirme ainsi l'attribution du n°667 (Royal) à cette maison par la citation de Loraux et celle du n°276 (Gardes) par la citation de Lelong.
- L'annonce publicitaire de Fain indique qu'il se trouve au n°666 ou 276 de la section.
Caractéristiques
Maison XVIIIe démolie, reconstruite dans la deuxième moitié du XIXe en retrait de l'alignement ancien, située sur la parcelle aujourd'hui cadastrée AT 95.
Propriétaire(s) avant 1789
n°435, maison à porte cochère et boutique appartenant au Sr de Bellavoine (AN, Q1/1099/3, Atlas de la censive du Roi, ca 1700, f°53 v°).
Propriétaire(s) Révolution-Empire
Non identifié.
Propriétaires à partir de 1810
Dandrezel, (AN, F/31/5/323)
Occupants
- Anonyme, vend un cabriolet, n°276 (Gardes) (1793) .
« Vend un bon cabriolet, r. S.Honoré, n° 276, près r. Roule (Gard.) S'adr. au fond de la cour. » (Affiches, 5 octobre 1793, p. 4202).
Note : La parcelle n°276, configurée en profondeur, comporte en effet une porte cochère, un long passage cocher et une grande cour.
- Benoist, drapier, n°666 (Royal) (1791).
- Callet, drapier, n°276 (Gardes) (1798).
Note : Voir aussi Callet drapier, non loin en face au n°72 (Empire) en 1806.
- Catheux, drapier, n°89 (Empire) (1807, 1810, 1817).
Note : indiqué par erreur au n°39 (Empire) dans l'almanach du commerce pour 1806
- Clément, drapier, n°276 (Gardes) (1798).
- Crochard, Jean-René, lingerie, « face r. du Four », s.n° (Gournay, 1788-89), s. n° (Tutelles, 1789), marchand mercier, n°276 (Gardes) (an III).
J.-R. Crochard, intervenant à l'acte du 16 novembre 1789, cousin germain maternel des mineures Dubois par son épouse Marie-Geneviève Naveau et, par elle, allié de Michel Loraux. Interviennent aussi à l'acte Jean-Claude Blanchard, vérificateur des fermes, François Fillette, avocat. Ces derniers demeurent tous deux rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain l'Auxerrois, s. n° (AN, Tutelles, Y 5184 B, f°26-29).
Crochard, Jean-René, marchand, n°276 (Gardes), quitte la section le 7 février 1795 pour demeurer section de l'Homme Armé (AN, F7/4796, Registre pour inscrire les cartes de sûreté déposées au 4ème comité, f°28 Vo, 18 pluviôse an III).
- Crochard, contrôleur des rentes de la mairie de Paris (27ème partie), face à la rue du Four, s.n° (Al. Royal, 1790, p. 442), contrôleur, ancien alternatif, n°276 (Gard.) (Al. National, an II, p. 413).
- Desilly, notaire n°666 (Royal) (1788) (Lesclapart).
On ne trouve aucun Desilly, notaire, au début de la période révolutionnaire, mais on trouve Abraham Silly, étude IX, r. Saint-Honoré de 1781 à 1785 (AN, RE/IX/9, 14), puis rue du Bouloy (Foiret, Notaires, p. 478).
- Dusommerard, conseiller référendaire cour des comptes d deuxième classe, n°89 (Empire) (Allard, Almanach, 1808).
Il s'agit vraisemblablement d'Alexandre Dussommerard (? - Saint-Cloud, 1842), conseiller à la Cour des Comptes, dont l'imposante collection d'antiquités, achetée par l'État en même temps que l'hôtel de Cluny a constitué la base du Musée actuel. (La Presse, 8 juillet 1843, p. 1, col. 3). Son nom a été donné à la rue des Mathurins-Saint-Jacques, renommée rue du Sommerard en 1867 [3], à l'angle de la rue Saint-Jacques.
- Eigenschenck (orthogaphié Etgenschens dans les almanachs), violoniste, n°276 (Gardes) (Alm. Spectacles, 1799, 1800).
Il est l'époux de Gertrude Mercken, artiste-peintre.
- Fain, négociant, n°666 (Royal) soit n°276 (Gardes) (1793).
A vendre « boutique, arrière-boutique, cour… rue des Écouffes, . S'adr. pour voir les lieux au locataire actuel et pour le prix au Cit. Fain, Négoc. Rue S. Honoré, près celle du Roule, à l'IMAGE DE SAINTE-GENEVIÈVE, n°666 ou 276 de la section. » (Affiches, n°199, 18 juillet 1793, p. 2997).
Note : L'enseigne indiquée dans cette annonce étant aussi celle de Loraux, Fain est peut-être son successeur.
- Lallemand, médecin, n°89 (Empire) (1808).
- Loraux (noté Leros), marchand de toiles et lingeries, n°667 (Royal) (1788).
Il s'agit très vraisemblablement de Michel Loraux, ancien négociant, demeurant rue Saint-Honoré, intervenant à l'acte du 16 novembre 1789, grand oncle maternel des mineures Dubois et oncle de Marie-Geneviève Naveau, cette dernière épouse de J.-R. Crochard, Md mercier. (AN, Registre des Tutelles du 15 au 30 novembre 1789, Y5184 B, f°28).
« À SAINTE GENEVIÈVE, rue St Honoré, entre la rue du Roule et celle de l'Arbre-Sec, la porte cochère dans le fond de la cour, LORAUX, tient magasin de toutes sortes de dentelles, toiles, mousselines, linge de table. » s. n° (Carte commerciale, s. d., BHVP, Éphémères).
- Mercken (noté ici Marken), Johanes-Kilianus, facteur de pianos, n°276 (Gardes), n°89 (Empire) (1806).
Johanes-Kilianus Mercken (1743-1819), premier facteur parisien de forte-piano, originaire d’Allemagne, s’installe à Paris comme facteur vers 1767 initialement dans l'enceinte de l'hôpital des Quinze-Vingts, rue Saint-Honoré puis rue du Chantre et n°666 rue Saint-Honoré vers 1791. Il est membre de la corporation des Tabletiers-Luthiers-Éventaillistes en 1776 dont il est le dernier syndic en 1789. Après 1789, Mercken n’est plus mentionné comme facteur de clavecins, mais comme facteur de forte-pianos, seul type d’instrument qu’il semble avoir construit. Il forma un élève, Paul Guillaume Dacweiller (1750-1801). Plusieurs tableaux représentent un piano-forte de Mercken. Il quitte Paris rejoindre à Versailles, rue d'Anjou, sa fille et son gendre Eigenschenck vers 1808. Son deuxième gendre Beckers, facteur de harpes, lui succède rue Saint-Honoré puis n°3 rue du Roule en 1818.
Bibliographie :
- Anonyme, « Mercken » , Facteurs de piano en France de 1700 à 1799. (Voir notice détaillée et illustrée en ligne, par défilement à la date de 1770)
- Marie-Christine et Jean-François Weber, J. K. Mercken premier facteur parisien de forte-pianos, Paris, Delatour, 2008.
Note : Mercken, est cité dans la maison voisine en 1798.
- Mercken, Gertrude, artiste-peintre, élève de Regnault, n°276 (Gardes) (Artistes, 1801).
Fille de J.-K. Mercken, et épouse de Henri-Joseph Eigenschenck (orthogaphié Etgenschens dans les almanachs), violoniste (Geneanet).
- Naveau, Marie-Geneviève, épouse de Jean-René Crochard.
- Paillard, Antoine-Firmin, Juré crieur, n°666 (Royal).((Al. Royal, 1791, p. 657).
Antoine-Firmin Paillard est un ami de Jean-Jacques Caumont et de sa sœur Jeanne-Geneviève Caumont, vve de Pierre Riffault-Olivier, demeurant rue de Seine (AN, Y 5083A, acte du 3 juillet 1781, Registre des tutelles du 1er au 15 juillet 1781, f°67 ; Y 5143 A, acte du 5 juillet 1786, Registre des tutelles du 1er au 15 juillet 1786, f°442).
- Paquet, tailleur, n°276 (Gardes) (1798).
Résidents
Visiter les parcelles voisines
Numéro pair vers l'Ouest | Parcelles en vis-à-vis côté Nord | Numéro pair vers l'Est |
Parcelle contiguë vers l'Ouest | Cette parcelle côté Sud | Parcelle contigüe vers l'Est |
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Bibliographie
Chastel, André et Mallet, Françoise, L'ilot de la rue du Roule et ses abords, Paris, Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et l'Ile-de-France, Coll. Paris et Ile-de-France, Mémoires, Extraits des t. XVI-XVII, 1965-1966, 130 p., 15 cartes et tableaux dépliants, XX pl. H.T.
Notes et références
Les sources et références générales du projet Localisations parisiennes 1780-1810 sont regroupées dans : Sources & Références (Paris 1780-1810)
- ↑ (AN., Q1/1099-3, Atlas de la censive du Roi, ca 1700, Deuxième plan de la rue Saint-Honoré, fol. 5 v°) Voir le 2ème plan.
- ↑ 4ème Quartier, Saint-Honoré ; Ilot 8 (AN, F/31/79/31). Voir le plan parcellaire en ligne.
- ↑ Pessard, Dictionnaire des Rues..., 1904, p. 489.