« Rue Saint-Honoré - Parcelle n°89 (Empire) » : différence entre les versions

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==Numéros successifs de la parcelle==
==Numéros successifs de la parcelle==
<small>Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. [[Numérotation des maisons à Paris 1788-1810 |Voir leurs principes respectifs]]. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. [[Rue Saint-Honoré (Paris) Parcelles et habitants Révolution-Empire |Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré]].</small>
<small>Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. [[Numérotation des maisons à Paris 1788-1810 |Voir leurs principes respectifs]]. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. [[Rue Saint-Honoré (Paris) Parcelles et habitants Révolution-Empire |Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré]].</small>
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===Concordance des numéros===
===Concordance des numéros===
Cette maison indiquée « à porte cochère » dans le terrier, correspond bien au n°89 (Empire) lui-même doté d'une porte cochère, la deuxième en venant de la rue du Roule, la prelière se trouvant au n°83 comme on le constate sur le cadastre de 1810, ce qui n'est plus possible de nos jours. Cette caractéristique confirme ainsi l'attribution du n°667 (Royal) à cette maison par la citation de Léro et celle du n°276 (Gardes) par la citation de Lelong.
* Cette maison indiquée « à porte cochère » dans le terrier, correspond bien au n°89 (Empire) lui-même doté d'une porte cochère, la deuxième en venant de la rue du Roule, la première se trouvant au n°83 comme on le constate sur le cadastre de 1810, ce qui n'est plus possible de nos jours cette maison ayant été démolie au XIXe. Cette caractéristique confirme ainsi l'attribution du n°667 (Royal) à cette maison par la citation de Loraux et celle du n°276 (Gardes) par la citation de Lelong.
* L'annonce publicitaire de Fain indique qu'il se trouve au n°666 ou 276 de la section.
==Caractéristiques==
==Caractéristiques==
Maison XVIIIe conservée sur la parcelle aujourd'hui cadastrée AT 95.
Maison XVIIIe conservée sur la parcelle aujourd'hui cadastrée AT 95.
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'''Dandrezel''', (AN, F/31/5/323)
'''Dandrezel''', (AN, F/31/5/323)
==Occupants==
==Occupants==
* '''Anonyme''', vend un cabriolet (1793) n°666 (Royal) (1791).
* '''Anonyme''', vend un cabriolet, n°276 (Gardes) (1793) .
 
<small>« Vend un bon cabriolet, r. S.Honoré, n° 276, près r. Roule (Gard.) S'adr. au fond de la cour. » (''Affiches'', 5 octobre 1793, p. 4202).<br/>
Note : La parcelle n°276, configurée en profondeur, comporte en effet une porte cochère, un long passage cocher et une grande cour.</small>
* '''Benoist''', drapier, n°666 (Royal) (1791).
* '''Benoist''', drapier, n°666 (Royal) (1791).
* '''Callet''', drapier, n°276 (Gardes) (1798).
* '''Callet''', drapier, n°276 (Gardes) (1798).
<small>Note : Voir aussi Callet drapier, non loin en face au n°72 (Empire) en 1806.</small>
* '''Catheux''', drapier, n°89 (Empire) (1807, 1810, 1817).
* '''Catheux''', drapier, n°89 (Empire) (1807, 1810, 1817).
<small>Note : indiqué par erreur au n°39 (Empire) dans l'almanach du commerce pour 1806</small>
<small>Note : indiqué par erreur au n°39 (Empire) dans l'almanach du commerce pour 1806</small>
* '''Clément''', drapier, n°276 (Gardes) (1798).
* '''Clément''', drapier, n°276 (Gardes) (1798).
* '''Crochard''', Jean-René, Md mercier, n°276 (Gardes) (an III).
* '''Crochard''', Jean-René, lingerie, « face r. du Four », s.n° (Gournay, 1788-89), s. n° (''Tutelles'', 1789), marchand mercier, n°276 (Gardes) (an III).
* ''' Crochart, lingerie, cité par Gournay, face r. du Four).
 
<small>J.-R. Crochard, intervenant à l'acte du 16 novembre 1789, cousin germain maternel des mineures Dubois par son épouse Marie-Geneviève Naveau et, par elle, allié de '''Michel Loraux'''. Interviennent aussi à l'acte '''Jean-Claude Blanchard''', vérificateur des fermes, '''François Fillette''', avocat. Ces derniers demeurent tous deux rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain l'Auxerrois, s. n° (AN, ''Tutelles'', Y 5184 B, f°26-29).
* '''Desilly''', notaire n°666 (Royal (1788) (L).
 
* '''Dusommerard''', conseiller référendaire cour des comptes, n°89 (Empire) (1808).
Crochard, Jean-René, marchand, n°276 (Gardes), quitte la section le 7 février 1795 pour demeurer section de l'Homme Armé (AN, F7/4796, ''Registre pour inscrire les cartes de sûreté déposées au 4ème comité'', f°28 Vo, 18 pluviôse an III).</small>
* '''Etgenschens''', violoniste, n°276 (Gardes) (1799, 1800).
 
* '''Fain''', négociant, n°666 (Royal) (1791). (1793)
* '''Desilly''', notaire n°666 (Royal) (1788) (Lesclapart).
* '''Lallemand''', Médecin, n°89 (Empire) (1808).
 
<small>On ne trouve aucun Desilly, notaire, au début de la période révolutionnaire, mais on trouve Abraham Silly, étude IX, r. Saint-Honoré de 1781 à 1785 (AN, RE/IX/9, 14), puis rue du Bouloy (Foiret, ''Notaires'', p. 478).</small>
* '''Dusommerard''', conseiller référendaire cour des comptes d deuxième classe, n°89 (Empire) (Allard, ''Almanach'', 1808).
 
<small>Il s'agit vraisemblablement d'Alexandre Dussommerard (? - Saint-Cloud, 1842), conseiller à la Cour des Comptes, dont l'imposante collection d'antiquités, achetée par l'État en même temps que l'hôtel de Cluny a constitué la base du Musée actuel. (''La Presse'', 8 juillet 1843, p. 1, col. 3). Son nom a été donné à la rue des Mathurins-Saint-Jacques, renommée rue du Sommerard en 1867 <ref><small>Pessard, ''Dictionnaire des Rues...'', 1904, p. 489. </small></ref>, à l'angle de la [[Rue Saint-Jacques - Parcelle n°61 (Empire)|rue Saint-Jacques]].
</small>
* '''Eigenschenck''' (orthogaphié Etgenschens dans les almanachs), violoniste, n°276 (Gardes) (''Alm. Spectacles'', 1799, 1800).
* '''Fain''', négociant, n°666 (Royal) soit n°276 (Gardes) (1793).
 
<small>A vendre « boutique, arrière-boutique, cour… rue des Écouffes, . S'adr. pour voir les lieux au locataire actuel et pour le prix au Cit. Fain, Négoc. Rue S. Honoré, près celle du Roule, à l'IMAGE DE SAINTE-GENEVIÈVE, n°666 ou 276 de la section. » (''Affiches'', n°199, 18 juillet 1793, p. 2997).<br/>
Note : L'enseigne indiquée dans cette annonce étant aussi celle de Loraux, Fain est peut-être son successeur.</small>
 
* '''Lallemand''', médecin, n°89 (Empire) (1808).
* '''Leros''' (Loraux ?), marchand de toiles et lingeries, n°667 (Royal) (1788).
* '''Leros''' (Loraux ?), marchand de toiles et lingeries, n°667 (Royal) (1788).
* '''Leroy''', horloger
 
Il s'agit très vraisemblablement de Michel Loraux, ancien négociant, demeurant rue Saint-Honoré, intervenant à l'acte du 16 novembre 1789, grand oncle maternel des mineures Dubois et oncle de Marie-Geneviève Naveau, cette dernière épouse de '''J.-R. Crochard''', Md mercier. (AN, ''Registre des Tutelles du 15 au 30 novembre 1789'', Y5184 B, f°28).
 
« À SAINTE GENEVIÈVE, rue St Honoré, entre la rue du Roule et celle de l'Arbre-Sec, la porte cochère dans le fond de la cour, LORAUX, tient magasin de toutes sortes de dentelles, toiles, mousselines, linge de table. » s. n° (Carte commerciale, s. d., BHVP, Ephémères).


* '''Marken''', facteur de pianos, n°89 (Empire) (1806).
* '''Marken''', facteur de pianos, n°89 (Empire) (1806).


<small>Il s'agit probablement de Mercken, luthier, cité dans la maison voisine en 1798.</small>
<small>Il s'agit probablement de Mercken, luthier, cité dans la maison voisine en 1798.</small>
* '''Mercken''', Gertrude, artiste-peintre, élève de Regnault, n°276 (Gardes) (1801).
* '''Mercken''', Gertrude, artiste-peintre, élève de Regnault, n°276 (Gardes) (''Artistes'', 1801).


* '''Paillard''', Juré crieur, n°666 (Royal) (1791).(AR, 1791, p. 657)
<small>Fille de Mercken, luthier, et épouse de Henri-Joseph Eigenschenck (orthogaphié Etgenschens dans les almanachs), violoniste (Geneanet).</small>
* '''Naveau''', Marie-Geneviève, épouse de Jean-René Crochard.
* '''Paillard''', Juré crieur, n°666 (Royal).((Al. Royal, 1791, p. 657).
* '''Paquet''', tailleur, n°276 (Gardes) (1798).
* '''Paquet''', tailleur, n°276 (Gardes) (1798).



Version du 28 juin 2019 à 11:13

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Numéros successifs de la parcelle

Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Voir leurs principes respectifs. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré.

Type (période) Terrier (avant 1780) Royal (1780-1791) Sectionnaire (1791-1805) Empire (depuis 1806) Actuel
Numéro n°435 n° 665-667 n°276 n°89 n°89
Rattachement Censive des abbesses de Montmartre [1] Paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois Section des Gardes Françaises 4e Arrondissement (ancien) [2] 1er Arrondissement

Concordance des numéros

  • Cette maison indiquée « à porte cochère » dans le terrier, correspond bien au n°89 (Empire) lui-même doté d'une porte cochère, la deuxième en venant de la rue du Roule, la première se trouvant au n°83 comme on le constate sur le cadastre de 1810, ce qui n'est plus possible de nos jours cette maison ayant été démolie au XIXe. Cette caractéristique confirme ainsi l'attribution du n°667 (Royal) à cette maison par la citation de Loraux et celle du n°276 (Gardes) par la citation de Lelong.
  • L'annonce publicitaire de Fain indique qu'il se trouve au n°666 ou 276 de la section.

Caractéristiques

Maison XVIIIe conservée sur la parcelle aujourd'hui cadastrée AT 95.

Propriétaire(s) avant 1789

n°435, maison à porte cochère et boutique appartenant au Sr de Bellavoine (AN, Q1/1099/3, Atlas de la censive du Roi, ca 1700, f°53 v°).

Propriétaire(s) Révolution-Empire

Non identifié.

Propriétaires à partir de 1810

Dandrezel, (AN, F/31/5/323)

Occupants

  • Anonyme, vend un cabriolet, n°276 (Gardes) (1793) .

« Vend un bon cabriolet, r. S.Honoré, n° 276, près r. Roule (Gard.) S'adr. au fond de la cour. » (Affiches, 5 octobre 1793, p. 4202).
Note : La parcelle n°276, configurée en profondeur, comporte en effet une porte cochère, un long passage cocher et une grande cour.

  • Benoist, drapier, n°666 (Royal) (1791).
  • Callet, drapier, n°276 (Gardes) (1798).

Note : Voir aussi Callet drapier, non loin en face au n°72 (Empire) en 1806.

  • Catheux, drapier, n°89 (Empire) (1807, 1810, 1817).

Note : indiqué par erreur au n°39 (Empire) dans l'almanach du commerce pour 1806

  • Clément, drapier, n°276 (Gardes) (1798).
  • Crochard, Jean-René, lingerie, « face r. du Four », s.n° (Gournay, 1788-89), s. n° (Tutelles, 1789), marchand mercier, n°276 (Gardes) (an III).

J.-R. Crochard, intervenant à l'acte du 16 novembre 1789, cousin germain maternel des mineures Dubois par son épouse Marie-Geneviève Naveau et, par elle, allié de Michel Loraux. Interviennent aussi à l'acte Jean-Claude Blanchard, vérificateur des fermes, François Fillette, avocat. Ces derniers demeurent tous deux rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain l'Auxerrois, s. n° (AN, Tutelles, Y 5184 B, f°26-29).

Crochard, Jean-René, marchand, n°276 (Gardes), quitte la section le 7 février 1795 pour demeurer section de l'Homme Armé (AN, F7/4796, Registre pour inscrire les cartes de sûreté déposées au 4ème comité, f°28 Vo, 18 pluviôse an III).

  • Desilly, notaire n°666 (Royal) (1788) (Lesclapart).

On ne trouve aucun Desilly, notaire, au début de la période révolutionnaire, mais on trouve Abraham Silly, étude IX, r. Saint-Honoré de 1781 à 1785 (AN, RE/IX/9, 14), puis rue du Bouloy (Foiret, Notaires, p. 478).

  • Dusommerard, conseiller référendaire cour des comptes d deuxième classe, n°89 (Empire) (Allard, Almanach, 1808).

Il s'agit vraisemblablement d'Alexandre Dussommerard (? - Saint-Cloud, 1842), conseiller à la Cour des Comptes, dont l'imposante collection d'antiquités, achetée par l'État en même temps que l'hôtel de Cluny a constitué la base du Musée actuel. (La Presse, 8 juillet 1843, p. 1, col. 3). Son nom a été donné à la rue des Mathurins-Saint-Jacques, renommée rue du Sommerard en 1867 [3], à l'angle de la rue Saint-Jacques.

  • Eigenschenck (orthogaphié Etgenschens dans les almanachs), violoniste, n°276 (Gardes) (Alm. Spectacles, 1799, 1800).
  • Fain, négociant, n°666 (Royal) soit n°276 (Gardes) (1793).

A vendre « boutique, arrière-boutique, cour… rue des Écouffes, . S'adr. pour voir les lieux au locataire actuel et pour le prix au Cit. Fain, Négoc. Rue S. Honoré, près celle du Roule, à l'IMAGE DE SAINTE-GENEVIÈVE, n°666 ou 276 de la section. » (Affiches, n°199, 18 juillet 1793, p. 2997).
Note : L'enseigne indiquée dans cette annonce étant aussi celle de Loraux, Fain est peut-être son successeur.

  • Lallemand, médecin, n°89 (Empire) (1808).
  • Leros (Loraux ?), marchand de toiles et lingeries, n°667 (Royal) (1788).

Il s'agit très vraisemblablement de Michel Loraux, ancien négociant, demeurant rue Saint-Honoré, intervenant à l'acte du 16 novembre 1789, grand oncle maternel des mineures Dubois et oncle de Marie-Geneviève Naveau, cette dernière épouse de J.-R. Crochard, Md mercier. (AN, Registre des Tutelles du 15 au 30 novembre 1789, Y5184 B, f°28).

« À SAINTE GENEVIÈVE, rue St Honoré, entre la rue du Roule et celle de l'Arbre-Sec, la porte cochère dans le fond de la cour, LORAUX, tient magasin de toutes sortes de dentelles, toiles, mousselines, linge de table. » s. n° (Carte commerciale, s. d., BHVP, Ephémères).

  • Marken, facteur de pianos, n°89 (Empire) (1806).

Il s'agit probablement de Mercken, luthier, cité dans la maison voisine en 1798.

  • Mercken, Gertrude, artiste-peintre, élève de Regnault, n°276 (Gardes) (Artistes, 1801).

Fille de Mercken, luthier, et épouse de Henri-Joseph Eigenschenck (orthogaphié Etgenschens dans les almanachs), violoniste (Geneanet).

  • Naveau, Marie-Geneviève, épouse de Jean-René Crochard.
  • Paillard, Juré crieur, n°666 (Royal).((Al. Royal, 1791, p. 657).
  • Paquet, tailleur, n°276 (Gardes) (1798).

Résidents

Visiter les parcelles voisines

Numéro pair vers l'Ouest Parcelles en vis-à-vis côté Nord Numéro pair vers l'Est
n°66 (Empire)
n°64 (Empire )
n°62 (Empire)
Parcelle contiguë vers l'Ouest Cette parcelle côté Sud Parcelle contigüe vers l'Est
n°91 (Empire)
n°89 (Empire)
n°87 (Empire)

Notes et références

Les sources et références générales du projet Localisations parisiennes 1780-1810 sont regroupées dans : Sources & Références (Paris 1780-1810)

  1. (AN., Q1/1099-3, Atlas de la censive du Roi, ca 1700, Deuxième plan de la rue Saint-Honoré, fol. 5 v°) Voir le 2ème plan.
  2. 4ème Quartier, Saint-Honoré ; Ilot 8 (AN, F/31/79/31). Voir le plan parcellaire en ligne.
  3. Pessard, Dictionnaire des Rues..., 1904, p. 489.