« Rue Saint-Honoré - Parcelle n°341 (Empire) » : différence entre les versions
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Le ''Sommier'' place cette maison, dont les Delles Florimond et Le Bel sont usufruitières en viager, au n°61 (Tuileries) et il y est précisé qu'elle porte le n°341 (Empire) (''Sommier'', t. 1, art. 164, p. 43). Selon les experts du Comité d'aliénation des biens nationaux on y accède par le deuxième passage cocher du 4ème immeuble du "Bâtiment neuf des Feuillants", au n°448 (Royal). | Le ''Sommier'' place cette maison, dont les Delles Florimond et Le Bel sont usufruitières en viager, au n°61 (Tuileries) et il y est précisé qu'elle porte le n°341 (Empire) (''Sommier'', t. 1, art. 164, p. 43). Selon les experts du Comité d'aliénation des biens nationaux on y accède par le deuxième passage cocher du 4ème immeuble du "Bâtiment neuf des Feuillants", au n°448 (Royal). | ||
(AN, Q2/118, Comité d'aliénation des biens nationaux, MM. Mangin et Normand, experts, ''Procès-verbal d'estimation conformément à l'instruction du Comité d'aliénation de l'Assemblée Nationale en date du cinq juillet mil sept cent quatre vingt dix, Nord de Paris, 3ème subdivision, 10ème lot, maison n°444-448 [Royal], rue Saint-Honoré'', Paris, 14 novembre 1790.) | (AN, Q2/118, Comité d'aliénation des biens nationaux, MM. Mangin et Normand, experts, ''Procès-verbal d'estimation conformément à l'instruction du Comité d'aliénation de l'Assemblée Nationale en date du cinq juillet mil sept cent quatre vingt dix, Nord de Paris, 3ème subdivision, 10ème lot, maison n°444-448 [Royal], rue Saint-Honoré'', Paris, 14 novembre 1790.) | ||
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* '''Le Domaine National'''. | * '''Le Domaine National'''. | ||
* '''Perier''', Claude.(Voir la notice ci-dessous, section "Occupants". | * '''Perier''', Claude.(Voir la notice ci-dessous, section "Occupants"). | ||
« Maison, n° 61. Or, Feuillants. Val. 72.000 Fr. Val. loc. 4.000 fr.<br/> | <small>« Maison, n° 61. Or, Feuillants. Val. 72.000 Fr. Val. loc. 4.000 fr.<br/> | ||
Emp. La propriété de cet article est domaniale, et l'usufruit appartient aux citoyennes Florimond, Gerbe et Lebel par bail à vie passé devant Menjaud, notaire, le 24 décembre 1782, moyennant la somme fixe de 34.000 fr, qu’elles ont payée aux Religieux Feuillants. | Emp. La propriété de cet article est domaniale, et l'usufruit appartient aux citoyennes Florimond, Gerbe et Lebel par bail à vie passé devant Menjaud, notaire, le 24 décembre 1782, moyennant la somme fixe de 34.000 fr, qu’elles ont payée aux Religieux Feuillants. | ||
Emp. La maison ne doit être rendue à la disposition de la République qu'au dernier jour du terme qui suivra celui dans lequel sera décédée la survivante desdites acquéreurs. D'après les recherches faîtes par le vérificateur soussigné tant à la direction des Contributions qu’à la Direction de l’Enregistrement et en l’étude de Me Breton, notaire, il est constant que la maison ci-dessus porte actuellement le n° 341, et que la nue-propriété de cette maison a été vendue à M. Claude Perrier, par procès-verbal du Bureau du Domaine national du 7 pluviôse an V, moyennant 39.412 fr, 50 c. qui ont été soldés suivant quittance du receveur des 1er et 2e arrondissements du 3 nivôse an VI, n° 1.249... » (''Sommier'', t. 1, art. 164, p. 43-44). | Emp. La maison ne doit être rendue à la disposition de la République qu'au dernier jour du terme qui suivra celui dans lequel sera décédée la survivante desdites acquéreurs. D'après les recherches faîtes par le vérificateur soussigné tant à la direction des Contributions qu’à la Direction de l’Enregistrement et en l’étude de Me Breton, notaire, il est constant que la maison ci-dessus porte actuellement le n° 341, et que la nue-propriété de cette maison a été vendue à M. Claude Perrier, par procès-verbal du Bureau du Domaine national du 7 pluviôse an V, moyennant 39.412 fr, 50 c. qui ont été soldés suivant quittance du receveur des 1er et 2e arrondissements du 3 nivôse an VI, n° 1.249... » (''Sommier'', t. 1, art. 164, p. 43-44). | ||
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- On remarque une différence de date de signature du bail d'usufruit viager : le 23 décembre 1783 dans le procès-verbal des experts du 14 novembre 1790, le 24 décembre 1782 dans la notice ci-dessus extraite du "Sommier";<br/> | - On remarque une différence de date de signature du bail d'usufruit viager : le 23 décembre 1783 dans le procès-verbal des experts du 14 novembre 1790, le 24 décembre 1782 dans la notice ci-dessus extraite du "Sommier";<br/> | ||
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- On relève aussi dans le ''Sommier'' à l'article 162 la notice suivante : | - On relève aussi dans le ''Sommier'' à l'article 162 la notice suivante : | ||
« Maison n°56, ancienne propriété des Feuillants, louée à divers avant 1791. Vendue le 7 pluviôse an V, moyennant 39.412 fr. 50 au citoyen Perrier, demeurant dans ladite maison. » (''Sommier'', art 162, p. 42). La similitude des dates et des montants des transactions évoquées dans ces deux articles, laisse penser qu'il s'agit du même acte et de la même maison. ceci peut aussi expliquer la confusion d'attribution de propriété du n°343 (Empire) aux frères Périer, en fait héritiers de leur père de la présente maison enclavée n°61 (Tuileries) et n°341 (Empire). | « Maison n°56, ancienne propriété des Feuillants, louée à divers avant 1791. Vendue le 7 pluviôse an V, moyennant 39.412 fr. 50 au citoyen Perrier, demeurant dans ladite maison. » (''Sommier'', art 162, p. 42). La similitude des dates et des montants des transactions évoquées dans ces deux articles, laisse penser qu'il s'agit du même acte et de la même maison. ceci peut aussi expliquer la confusion d'attribution de propriété du n°343 (Empire) aux frères Périer, en fait héritiers de leur père de la présente maison enclavée n°61 (Tuileries) et n°341 (Empire). | ||
==Propriétaires à partir de 1810== | ==Propriétaires à partir de 1810== | ||
'''de Pontalba''', (17842) (AN, F/31/7/181). | '''de Pontalba''', (17842) (AN, F/31/7/181). | ||
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<small>Claude Périer (Grenoble, 1742 - Paris 1801), conseiller du roi à la chambre des comptes du Dauphiné, achète le château de Vizille en 1780 où il accueille les états-généraux du Dauphiné le 21 juillet 1788. Industriel et banquier, il achète en 1791 les mines d'Anzin, bien national, et devient officier municipal de Grenoble en 1792 puis s'installe à Paris en l'an V. Il rédige les statuts de la Banque de France dont il devient l'un des premiers régents. « Deux de ses fils, Scipion et Casimir Périer associés à Henri Flory créent la banque Périer frères, Flory et Cie en juin 1801. » (L. Bergeron, ''Banquiers, négociants'', Chap. II ; Larousse, ''Dictionnaire'', 1910, t. 5, p. 482 ; [https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Perier Voir la notice Wikipedia], Geneanet, ''bourelly'').</small> | <small>Claude Périer (Grenoble, 1742 - Paris 1801), conseiller du roi à la chambre des comptes du Dauphiné, achète le château de Vizille en 1780 où il accueille les états-généraux du Dauphiné le 21 juillet 1788. Industriel et banquier, il achète en 1791 les mines d'Anzin, bien national, et devient officier municipal de Grenoble en 1792 puis s'installe à Paris en l'an V. Il rédige les statuts de la Banque de France dont il devient l'un des premiers régents. « Deux de ses fils, Scipion et Casimir Périer associés à Henri Flory créent la banque Périer frères, Flory et Cie en juin 1801. » (L. Bergeron, ''Banquiers, négociants'', Chap. II ; Larousse, ''Dictionnaire'', 1910, t. 5, p. 482 ; [https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Perier Voir la notice Wikipedia], Geneanet, ''bourelly'').</small> | ||
==Résidents== | ==Résidents== | ||
* '''Mesnard''', Clément, prieur-curé d'Aubigny près Doué en Anjou, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, 448 [Royal], rue Saint-Honoré (1790) (Brette, ''États Généraux'', t. 2. [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62217192 Gallica]). | |||
==Visiter les parcelles voisines== | ==Visiter les parcelles voisines== |
Dernière version du 31 janvier 2020 à 11:36
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Numéros successifs de la parcelle
Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Voir leurs principes respectifs. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré.
Avertissement : Dans ce segment Sud-Ouest de la rue Saint-Honoré, du fait de l'imprécision graphique de l'Atlas du terrier des censives du Roi (ca 1720), des allotissements des biens nationaux et des destructions consécutives, l'enchaînement des correspondances de numéros proposé ici ne doit être envisagé que comme une hypothèse.
Type (période) | Terrier (avant 1780) | Royal (1780-1791) | Sectionnaire (1791-1805) | Empire (depuis 1806) | Actuel |
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Numéro | n°275 | n°448 | n°61 | n°341 | n°229 |
Rattachement | Terrier de la censive du Roi [1] | Paroisse Saint-Roch | Section Tuileries | 1er Arrondissement (ancien) [2] | 1er Arrondissement |
Correspondance des numéros
Le Sommier place cette maison, dont les Delles Florimond et Le Bel sont usufruitières en viager, au n°61 (Tuileries) et il y est précisé qu'elle porte le n°341 (Empire) (Sommier, t. 1, art. 164, p. 43). Selon les experts du Comité d'aliénation des biens nationaux on y accède par le deuxième passage cocher du 4ème immeuble du "Bâtiment neuf des Feuillants", au n°448 (Royal). (AN, Q2/118, Comité d'aliénation des biens nationaux, MM. Mangin et Normand, experts, Procès-verbal d'estimation conformément à l'instruction du Comité d'aliénation de l'Assemblée Nationale en date du cinq juillet mil sept cent quatre vingt dix, Nord de Paris, 3ème subdivision, 10ème lot, maison n°444-448 [Royal], rue Saint-Honoré, Paris, 14 novembre 1790.)
Caractéristiques
Cette maison située au n°341 (Empire), jointe à l'immeuble n°343 (Empire), forme le n°229 (actuel) et se trouve sur la parcelle cadastrée AY 31.
Propriétaire(s) avant 1789
Les religieux Feuillants.
« Maison vendue à vie aux Delles Florimond et Le Bel, par acte passé devant Me Menjaud et son confrère, notaires à Paris, le 23 décembre 1783. » (Procès-verbal, Id.)
Propriétaire(s) Révolution-Empire
- Le Domaine National.
- Perier, Claude.(Voir la notice ci-dessous, section "Occupants").
« Maison, n° 61. Or, Feuillants. Val. 72.000 Fr. Val. loc. 4.000 fr.
Emp. La propriété de cet article est domaniale, et l'usufruit appartient aux citoyennes Florimond, Gerbe et Lebel par bail à vie passé devant Menjaud, notaire, le 24 décembre 1782, moyennant la somme fixe de 34.000 fr, qu’elles ont payée aux Religieux Feuillants.
Emp. La maison ne doit être rendue à la disposition de la République qu'au dernier jour du terme qui suivra celui dans lequel sera décédée la survivante desdites acquéreurs. D'après les recherches faîtes par le vérificateur soussigné tant à la direction des Contributions qu’à la Direction de l’Enregistrement et en l’étude de Me Breton, notaire, il est constant que la maison ci-dessus porte actuellement le n° 341, et que la nue-propriété de cette maison a été vendue à M. Claude Perrier, par procès-verbal du Bureau du Domaine national du 7 pluviôse an V, moyennant 39.412 fr, 50 c. qui ont été soldés suivant quittance du receveur des 1er et 2e arrondissements du 3 nivôse an VI, n° 1.249... » (Sommier, t. 1, art. 164, p. 43-44).
Note :
- On remarque une différence de date de signature du bail d'usufruit viager : le 23 décembre 1783 dans le procès-verbal des experts du 14 novembre 1790, le 24 décembre 1782 dans la notice ci-dessus extraite du "Sommier";
- Puisque le Domaine National entendait respecter toutes les clauses du bail signé par les RP. Feuillants et les usufruitières, la vente de la nue-propriété à C. Périer en l'an V indique qu'au moins l'une d'elles vivait encore à cette date dans cette maison.
- On relève aussi dans le Sommier à l'article 162 la notice suivante :
« Maison n°56, ancienne propriété des Feuillants, louée à divers avant 1791. Vendue le 7 pluviôse an V, moyennant 39.412 fr. 50 au citoyen Perrier, demeurant dans ladite maison. » (Sommier, art 162, p. 42). La similitude des dates et des montants des transactions évoquées dans ces deux articles, laisse penser qu'il s'agit du même acte et de la même maison. ceci peut aussi expliquer la confusion d'attribution de propriété du n°343 (Empire) aux frères Périer, en fait héritiers de leur père de la présente maison enclavée n°61 (Tuileries) et n°341 (Empire).
Propriétaires à partir de 1810
de Pontalba, (17842) (AN, F/31/7/181).
Occupants
- Florimond (ou Fleurimont), Melle, usufruitière de la maison enclavée n°448 (Royal) (1790), n°446 (K) (K 91).
Co-usufruitière viager par bail du 23 décembre 1783 signé directement avec les RP. Feuillants pour la somme unique et définitive de 34 000 livres, de la maison enclavée en arrière du quatrième immeuble, à l'Est, du "Bâtiment neuf des Feuillants" à laquelle on accède par le deuxième passage cocher à l'Est de ce bâtiment. (AN, Q2/118, Procès verbal d'estimation de la maison n°444-448, 14 novembre 1790).
« Maison n°61, propriété des Feuillants, en sont usufruitières les Ctnes Florimont, Gerbe et Lebel par bail à vie, passé devant Me Menjaud, notaire en 1782. La maison porte actuellement le n°341. La nue-propriété a été vendue en l'an V à M. Claude Perrier. » (Sommier, art. 164, p. 43).
- Gerbe, Melle, usufruitière de la maison enclavée, n°448 (Royal) (1790), n°446 (K) (K 91).
Co-usufruitière viager par bail du 23 décembre 1783 signé directement avec les RP. Feuillants pour la somme unique et définitive de 34 000 livres, de la maison enclavée en arrière du quatrième immeuble, à l'Est, du "Bâtiment neuf des Feuillants" à laquelle on accède par le deuxième passage cocher à l'Est de ce bâtiment. Elle n'est pas citée dans le P.V. des experts fin novembre 1790, ce qui peut donner à penser qu'elle est décédée ou qu'elle a quitté la maison avant cette date (AN, Q2/118, Procès verbal d'estimation de la maison n°444-448, 14 novembre 1790).
« Maison n°61, propriété des Feuillants, en sont usufruitières les Ctnes Florimont, Gerbe et Lebel par bail à vie, passé devant Me Menjaud, notaire en 1782. La maison porte actuellement le n°341. La nue-propriété a été vendue en l'an V à M. Claude Perrier. » (Sommier, art. 164, p. 43).
- Le Bel, Melle, usufruitière de la maison enclavée n°448 (Royal) (1790), n°446 (K) (K 91).
Co-usufruitière viager par bail du 23 décembre 1783 signé directement avec les RP. Feuillants pour la somme unique et définitive de 34 000 livres, de la maison enclavée en arrière du quatrième immeuble, à l'Est, du "Bâtiment neuf des Feuillants" à laquelle on accède par le deuxième passage cocher à l'Est de ce bâtiment. (AN, Q2/118, Procès verbal d'estimation de la maison n°444-448, 14 novembre 1790).
« Maison n°61, propriété des Feuillants, en sont usufruitières les Ctnes Florimont, Gerbe et Lebel par bail à vie, passé devant Me Menjaud, notaire en 1782. La maison porte actuellement le n°341. La nue-propriété a été vendue en l'an V à M. Claude Perrier. » (Sommier, art. 164, p. 43).
- Maurin, M., commissionnaire de marchandises, n°61 (Tuileries) (1798).
- Perier, Claude, M., industriel du textile, banquier, homme politique, régent de la Banque de France, nu-propriétaire de la présente maison (an V) (Sommier, art. 164, p. 43).
Claude Périer (Grenoble, 1742 - Paris 1801), conseiller du roi à la chambre des comptes du Dauphiné, achète le château de Vizille en 1780 où il accueille les états-généraux du Dauphiné le 21 juillet 1788. Industriel et banquier, il achète en 1791 les mines d'Anzin, bien national, et devient officier municipal de Grenoble en 1792 puis s'installe à Paris en l'an V. Il rédige les statuts de la Banque de France dont il devient l'un des premiers régents. « Deux de ses fils, Scipion et Casimir Périer associés à Henri Flory créent la banque Périer frères, Flory et Cie en juin 1801. » (L. Bergeron, Banquiers, négociants, Chap. II ; Larousse, Dictionnaire, 1910, t. 5, p. 482 ; Voir la notice Wikipedia, Geneanet, bourelly).
Résidents
- Mesnard, Clément, prieur-curé d'Aubigny près Doué en Anjou, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, 448 [Royal], rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
Visiter les parcelles voisines
Numéro pair vers l'Ouest | Parcelles en vis-à-vis côté Nord | Numéro pair vers l'Est |
Parcelle contiguë vers l'Ouest | Cette parcelle côté Sud | Parcelle contigüe vers l'Est |
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Notes et références
Les sources et références générales du projet Localisations parisiennes 1780-1810 sont regroupées dans : Sources & Références (Paris 1780-1810) {{#set:ghd=http://geohistoricaldata.org}}
- ↑ Atlas de la censive du Roi, Cinquième plan de la rue Saint-Honoré (AN., Q1 1099-3, Atlas de la censive du Roi, fol. 023 v° pl. 5) Voir le plan.
- ↑ 4ème Quartier, Tuileries ; Ilots 12 (AN, F/31/73/37). Voir le plan parcellaire en ligne.