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==Caractéristiques==
==Caractéristiques==
Comme tout l'îlot XVIIIe du cloître Saint-Honoré, cette maison est acquise par la ville de Paris pour permettre l'élargissement des rues Croix-des-Petits-Champs et Saint-Honoré (BHVP, Ephémères, 4-TOP-02679, article "Document officiel du 19 avril 1913.)  
Cette maison très étroite et peu profonde n'a que deux croisées sur la façade en pierre donnant sur la rue Saint-Honoré. Elle dispose d'une boutique et d'une arrière-boutique au rez-de-chaussée, d'un magasin à l'entresol et de quatre étages carrés dont un sous comble en mansarde. Sa petite cour et divers lieux d'aisance sont imbriqués dans les maisons voisines (A. N., Q2/121/37, Comité d'aliénation des biens nationaux, MM. Mouton et Villetard fils, architectes, ''Rapport d'expertise, maison rue Saint-Honoré, près la rue Croix-des-Petits-Champs, louée au Ctn Charpentier, confiseur'', Paris, 12 février 1791 ; [https://archive.org/details/maisons-charpentier-n-23-halle-rue-st-honore-paris-1791 lire en ligne sur archive.org] la transcription du rapport et les schémas d'implantation par Dominique Waquet).
 
Aucune modification ne touche cette maison jusqu'en 1913, date à laquelle, comme tout l'îlot du cloître Saint-Honoré, elle est acquise par la ville de Paris pour permettre l'élargissement des rues Croix-des-Petits-Champs et Saint-Honoré (BHVP, Éphémères, 4-TOP-02679, article ''Document officiel du 19 avril 1913''.)  


La démolition intervient dans le courant de 1913 ([http://wiki.geohistoricaldata.org/Fichier:172-192-Comm-Vx-Paris_1913-12-05.jpg Voir l'intervention de la Commission municipale du Vieux Paris]).
La démolition intervient dans le courant de 1913 ([http://wiki.geohistoricaldata.org/Fichier:172-192-Comm-Vx-Paris_1913-12-05.jpg Voir l'intervention de la Commission municipale du Vieux Paris]).
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==Occupants==
==Occupants==
* '''Charpentier''', Louis-François, confiseur, puis noté épicier-droguiste, principal locataire, s. n° (1786), n°151 (1788, 1791), n°23 (Halle) (1798, 1803), n°174 (Empire) (1806).
* '''Charpentier''', Louis-François, confiseur, puis noté épicier-droguiste, principal locataire, s. n° (1786), n°151 (1788, 1791), n°23 (Halle) (1792-1793, 1798, 1803), n°174 (Empire) (1806).


<small>En 1786 Charpentier recueille les enfants orphelins de la dame Migeon, veuve de Migeon marchand pelletier, rue St Honoré vers 1780, décédée en avril 1786 chez [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°175 (Empire)|'''Lefebvre''']], marchand de drap. Les enfants Migeon sont élevés par La Blonde, ancienne cuisinière de leurs parents, pour laquelle Louvet, avocat demande l'attribution d'un prix de vertu de l'Académie Française. Plusieurs témoins attestent la véracité des faits : Léger, et Morlet, anciens consuls, Charpentier, fils, Md mercier, [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°177 (Empire)|'''Foncier''']], Md bijoutier, Méline et Bisch [beau-frère de Charpentier], bourgeois (''Journal de Paris'', n°165, 4 juin 1787, p. 681-682). [http://wiki.geohistoricaldata.org/Fichier:Charpentier-confiseur_1787-1.png Lire l'article]
<small>En 1786 Charpentier recueille les enfants orphelins de la dame Migeon, veuve de Migeon marchand pelletier, rue St Honoré vers 1780, décédée en avril 1786 chez [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°175 (Empire)|'''Lefebvre''']], marchand de drap. Les enfants Migeon sont élevés par La Blonde, ancienne cuisinière de leurs parents, pour laquelle Louvet, avocat demande l'attribution d'un prix de vertu de l'Académie Française. Plusieurs témoins attestent la véracité des faits : Léger, et Morlet, anciens consuls, Charpentier, fils, Md mercier, [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°177 (Empire)|'''Foncier''']], Md bijoutier, Méline et Bisch [beau-frère de Charpentier], bourgeois (''Journal de Paris'', n°165, 4 juin 1787, p. 681-682). [http://wiki.geohistoricaldata.org/Fichier:Charpentier-confiseur_1787-1.png Lire l'article]
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Louis-François Charpentier, confiseur, paroisse St Eustache, frère de Jean-François-Marie Charpentier, Md orfèvre, r. St Honoré, paroisse St Germain, d'Étienne-François Charpentier, maître maçon entrepreneur, r. St Lazare et de Madeleine-Françoise Charpentier, épouse de Jean-Michel Bisch, professeur de musique, amis de Claude-Charles François Fillon, maître horloger et de [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°260 (Empire)|'''Jean-Jacques-Martin Carlier''']], Md fourreur, interviennent à un acte du 24 septembre 1790 dans lequel apparait également [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°348 (Empire)|'''Charles Savalette de Lange''']]. Ce dernier rembourse à Bisch le capital d'une rente viagère de 300 livres consentie en 1786 à Bisch et à sa fille par contrat devant [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°291 (Empire)|'''Me Gibert''']] le jeune, Bisch et sa fille remboursant à leur tour L.-F. Charpentier qui souhaite acquérir une maison. (AN, ''Tutelles'', Y 5194B, f°572-578).
Louis-François Charpentier, confiseur, paroisse St Eustache, frère de Jean-François-Marie Charpentier, Md orfèvre, r. St Honoré, paroisse St Germain, d'Étienne-François Charpentier, maître maçon entrepreneur, r. St Lazare et de Madeleine-Françoise Charpentier, épouse de Jean-Michel Bisch, professeur de musique, amis de Claude-Charles François Fillon, maître horloger et de [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°260 (Empire)|'''Jean-Jacques-Martin Carlier''']], Md fourreur, interviennent à un acte du 24 septembre 1790 dans lequel apparait également [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°348 (Empire)|'''Charles Savalette de Lange''']]. Ce dernier rembourse à Bisch le capital d'une rente viagère de 300 livres consentie en 1786 à Bisch et à sa fille par contrat devant [[Rue Saint-Honoré - Parcelle n°291 (Empire)|'''Me Gibert''']] le jeune, Bisch et sa fille remboursant à leur tour L.-F. Charpentier qui souhaite acquérir une maison. (AN, ''Tutelles'', Y 5194B, f°572-578).


L.-F. Charpentier est principal locataire de la maison n°23 [Hal.], propriété du Chapitre de Saint-Honoré, (''Sommier'', art. 1700, p. 576).
Depuis le 1er avril 1789 L.-F. Charpentier est le principal locataire de la maison n°23 [Hal.], propriété du Chapitre de Saint-Honoré, (''Sommier'', art. 1700, p. 576 et A. N., Q2/121/37, MM. Mouton et Villetard fils, architectes, ''Rapport d'expertise, maison rue Saint-Honoré, près la rue Croix-des-Petits-Champs, louée au Ctn Charpentier, confiseur'', Paris, 12 février 1791).


Cartes de sûreté établies au nom de Charpentier, Louis-François, confiseur, 42 ans, domicilié n°23 (Halles), précédemment même rue, né à Paris (AN, F7/4796, ''Registre des cartes de sûreté de la S. Halle-aux-Blés octobre 1792- janvier 1793'', f°41, n°1246, 2 novembre 1792 ; ''Registre de renouvellement des cartes de sûreté de la S. Halle-aux-Blés avril-mai 1793'', f°11, n°347 5 mai 1793).</small>
Cartes de sûreté établies au nom de Charpentier, Louis-François, confiseur, 42 ans, domicilié n°23 (Halles), précédemment même rue, né à Paris (AN, F7/4796, ''Registre des cartes de sûreté de la S. Halle-aux-Blés octobre 1792- janvier 1793'', f°41, n°1246, 2 novembre 1792 ; ''Registre de renouvellement des cartes de sûreté de la S. Halle-aux-Blés avril-mai 1793'', f°11, n°347 5 mai 1793).</small>
* '''Habran''', François, maçon, n°23 (Halle) (1793).
<small>32 ans, précédemment Aux … , arrivé à Paris il y a 8 ans né à Latour (Allemagne) (AN, F/7/4796, ''2ème Registre des cartes de sûreté blanches, S. Halle-aux-Blés, mai-17 août 1793'', f°19, n°1756, le 14 juin 1793).</small>
* '''Lamer''', Mathurin, confiseur, n°23 (Halle) (1793).
<small>22 ans, précédemment rue de Harpois, arrivé à Paris depuis 4 ans, né à Fleury-la-Forêt (Eure) (AN, F/7/4796, ''Registre des cartes de sûreté de la S. Halle-aux-Blés janvier-mai 1793-2e partie'', f°26, n°838, le 15 mai 1793).</small>
* '''Thomme''', Jean-Thérèse, commis, n°24 (Halle) (1794).
<small>36 ans, précédemment à La Boisse, arrivé à Paris depuis 3 jours, né à Salins-les-Bains (Jura) (AN, F/7/4796, ''Registre des cartes de sûreté rouges An II Section Halle-aux-Blés Brumaire-Thermidor an II'', f°57, n°3009, le 7 juillet 1794).
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==Résidents==
==Résidents==

Dernière version du 25 novembre 2020 à 16:43

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Numéros successifs de la parcelle

Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Voir leurs principes respectifs. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré.

Type (période) Terrier (avant 1780) Royal (1780-1791) Sectionnaire (1791-1805) Empire (depuis 1806) Actuel
Numéro n°101 n°151-152 n°23-24 n°174 N. S.
Rattachement Terrier du Roi [1] Paroisse Saint-Eustache Halle-aux-Blés 4ème Arrdt (ancien) [2] 1er Arrondissement

Correspondance des numéros

  • Correspondance de configuration de la parcelle Terrier n°101 et de la parcelle n°174 (Empire).
  • Présence continue de Charpentier de 1788 au n°151 (Royal) à 1806, au n°174 (Empire), en passant par le n°23 (Halle) (1793, 1798, 1803).
  • « Maison du confiseur, occupée par le Sr Charpentier » déclarée mitoyenne au couchant de la maison sise à Paris rue St Honoré, au coin de celle Croix-des-Petits-Champs. (AN, Q2/118, Comité d'aliénation des Biens nationaux, Delécluze, Pharoux, Rapport d'expertise 4ème Livraison 9ème Lot, 25 février 1791).

Caractéristiques

Cette maison très étroite et peu profonde n'a que deux croisées sur la façade en pierre donnant sur la rue Saint-Honoré. Elle dispose d'une boutique et d'une arrière-boutique au rez-de-chaussée, d'un magasin à l'entresol et de quatre étages carrés dont un sous comble en mansarde. Sa petite cour et divers lieux d'aisance sont imbriqués dans les maisons voisines (A. N., Q2/121/37, Comité d'aliénation des biens nationaux, MM. Mouton et Villetard fils, architectes, Rapport d'expertise, maison rue Saint-Honoré, près la rue Croix-des-Petits-Champs, louée au Ctn Charpentier, confiseur, Paris, 12 février 1791 ; lire en ligne sur archive.org la transcription du rapport et les schémas d'implantation par Dominique Waquet).

Aucune modification ne touche cette maison jusqu'en 1913, date à laquelle, comme tout l'îlot du cloître Saint-Honoré, elle est acquise par la ville de Paris pour permettre l'élargissement des rues Croix-des-Petits-Champs et Saint-Honoré (BHVP, Éphémères, 4-TOP-02679, article Document officiel du 19 avril 1913.)

La démolition intervient dans le courant de 1913 (Voir l'intervention de la Commission municipale du Vieux Paris).

Propriétaire(s) avant 1789

  • Le Chapitre-Saint-Honoré, propriétaire d'une maison et boutique à l'enseigne de la DUCHESSE DE LORRAINE (Terrier du Roi, ca 1720) (AN, Q1 1099-3, f°13 v°).

Parcelle 101 du terrier du Roi, propriété du Chapitre de Saint-Honoré. Maison N° [S] 23, louée au Cn Charpentier. (Sommier des Biens nationaux, Art. 1700, p. 576).

Propriétaire(s) Révolution-Empire

  • Municipalité de Paris.

« Maison rue Saint-Honoré, près la rue Croix-des-Petits-Champs, louée à M. Charpentier, (chapitre Saint-Honoré) mise en vente sur adjudication par la municipalité de Paris à l'audience ordinaire de l'Hôtel-de-ville de Paris le vendredi 17 juin 1791, estimée à 30 400 livres. » (Bureau de la rue Saint-Magloire, Tableau des biens particuliers et journal des domaines nationaux qui sont à vendre, 8 juin 1791, p. 12. Gallica).

  • Barbé, puis Dumont, François, peintre.

Vendue initialement en 1791 à Barbé, homme de Loi, rue Charlot, puis au Cn Dumont, peintre, galerie du Louvre en mai 1792. (Sommier des Biens nationaux, Art. 1700, p. 576).

François Dumont, dit Dumont aîné (Lunéville, 1751 - Paris, 1831), peintre miniaturiste de Marie-Antoinette et de la Cour, reçu membre de l'Académie royale de peinture en 1788, se voit octroyer par Louis XVI l'appartement de Charles-Nicolas Cochin au Louvre. Il est l'auteur de miniatures de célébrités de la Révolution comme Camille Desmoulins et de nombreux portraits de membres de sa famille (H. de Chennevières, « François Dumont, miniaturiste de la reine Marie-Antoinette », Gazette des Beaux-Arts, 549ème livraison, mars 1903, p. 179-192 (Gallica) ; Base Joconde, portail des collections des musées de France).

Propriétaires en 1810

Dumont (1809) (AN, F/31/7/203).

Occupants

  • Charpentier, Louis-François, confiseur, puis noté épicier-droguiste, principal locataire, s. n° (1786), n°151 (1788, 1791), n°23 (Halle) (1792-1793, 1798, 1803), n°174 (Empire) (1806).

En 1786 Charpentier recueille les enfants orphelins de la dame Migeon, veuve de Migeon marchand pelletier, rue St Honoré vers 1780, décédée en avril 1786 chez Lefebvre, marchand de drap. Les enfants Migeon sont élevés par La Blonde, ancienne cuisinière de leurs parents, pour laquelle Louvet, avocat demande l'attribution d'un prix de vertu de l'Académie Française. Plusieurs témoins attestent la véracité des faits : Léger, et Morlet, anciens consuls, Charpentier, fils, Md mercier, Foncier, Md bijoutier, Méline et Bisch [beau-frère de Charpentier], bourgeois (Journal de Paris, n°165, 4 juin 1787, p. 681-682). Lire l'article

Louis-François Charpentier, confiseur, paroisse St Eustache, frère de Jean-François-Marie Charpentier, Md orfèvre, r. St Honoré, paroisse St Germain, d'Étienne-François Charpentier, maître maçon entrepreneur, r. St Lazare et de Madeleine-Françoise Charpentier, épouse de Jean-Michel Bisch, professeur de musique, amis de Claude-Charles François Fillon, maître horloger et de Jean-Jacques-Martin Carlier, Md fourreur, interviennent à un acte du 24 septembre 1790 dans lequel apparait également Charles Savalette de Lange. Ce dernier rembourse à Bisch le capital d'une rente viagère de 300 livres consentie en 1786 à Bisch et à sa fille par contrat devant Me Gibert le jeune, Bisch et sa fille remboursant à leur tour L.-F. Charpentier qui souhaite acquérir une maison. (AN, Tutelles, Y 5194B, f°572-578).

Depuis le 1er avril 1789 L.-F. Charpentier est le principal locataire de la maison n°23 [Hal.], propriété du Chapitre de Saint-Honoré, (Sommier, art. 1700, p. 576 et A. N., Q2/121/37, MM. Mouton et Villetard fils, architectes, Rapport d'expertise, maison rue Saint-Honoré, près la rue Croix-des-Petits-Champs, louée au Ctn Charpentier, confiseur, Paris, 12 février 1791).

Cartes de sûreté établies au nom de Charpentier, Louis-François, confiseur, 42 ans, domicilié n°23 (Halles), précédemment même rue, né à Paris (AN, F7/4796, Registre des cartes de sûreté de la S. Halle-aux-Blés octobre 1792- janvier 1793, f°41, n°1246, 2 novembre 1792 ; Registre de renouvellement des cartes de sûreté de la S. Halle-aux-Blés avril-mai 1793, f°11, n°347 5 mai 1793).

  • Habran, François, maçon, n°23 (Halle) (1793).

32 ans, précédemment Aux … , arrivé à Paris il y a 8 ans né à Latour (Allemagne) (AN, F/7/4796, 2ème Registre des cartes de sûreté blanches, S. Halle-aux-Blés, mai-17 août 1793, f°19, n°1756, le 14 juin 1793).

  • Lamer, Mathurin, confiseur, n°23 (Halle) (1793).

22 ans, précédemment rue de Harpois, arrivé à Paris depuis 4 ans, né à Fleury-la-Forêt (Eure) (AN, F/7/4796, Registre des cartes de sûreté de la S. Halle-aux-Blés janvier-mai 1793-2e partie, f°26, n°838, le 15 mai 1793).

  • Thomme, Jean-Thérèse, commis, n°24 (Halle) (1794).

36 ans, précédemment à La Boisse, arrivé à Paris depuis 3 jours, né à Salins-les-Bains (Jura) (AN, F/7/4796, Registre des cartes de sûreté rouges An II Section Halle-aux-Blés Brumaire-Thermidor an II, f°57, n°3009, le 7 juillet 1794).

Résidents

Visiter les parcelles voisines

Parcelle contiguë vers l'Ouest Cette parcelle Parcelle contigüe vers l'Est
n°176 (Empire)
n°174 (Empire)
n°172 (Empire) rue Croix-des-Petits-Champs
Parcelles en vis-à-vis côté Sud
rue du Champ-Fleury n°187 (Empire)
n°185 (Empire)
n°183 (Empire)

Notes et références

Les sources et références générales du projet Localisations parisiennes 1780-1810 sont regroupées dans : Sources & Références (Paris 1780-1810). {{#set:ghd=http://geohistoricaldata.org}}

  1. Cette parcelle est portée sur le 2ème plan de l'Atlas du terrier de la Censive du Roi (ca 1700). Voir ce 2ème plan.
  2. Quartier Banque de France; ilot n°14 (AN/F/31/80/15) Voir le plan cadastral.