« Rue Saint-Honoré - Parcelle n°355 (Empire) » : différence entre les versions

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==Caractéristiques==
==Caractéristiques==
Le couvent des Capucins de la rue Saint-Honoré, l'une des trois maisons parisiennes de l'Ordre, date de 1576. Outre les RR.PP. Capucins, il accueille des hôtes payants tel Boullonmorangis, Lemonnier, physicien et astronome, dont les instruments sont un temps conservés après la nationalisation (Brette, ''Histoire'', p. 291). Le 9 novembre 1789, dès l'installation de l'Assemblée Nationale à la salle du Manège, dans le jardin des Tuileries, des bureaux et plusieurs comités de la Constituante sont installés dans les étages du couvent et dans des baraquements en bois construits à la hâte dans les jardins du couvent (Voir la répartition des services de la Constituante dans les locaux des Capucins dans A. Brette, ''Histoire'', p. 179, 182 pour la Constituante, p. 209 pour la Législative ; Gallica et archive.org). D'autres sont logés au couvent voisin des Feuillants. (Voir plan dans G. Lenôtre, ''Paris révolutionnaire'', p. 72-73).<br>
Le 30 juillet 1790, l'Assemblée Nationale adopte un décret autorisant la Municipalité de Paris à faire évacuer le couvent des Capucins pour être employé au logement de plusieurs services de l'Assemblée, à l'installation de l'imprimerie de Baudouin dans le réfectoire (Tuetey, ''Répertoire'', t. 3, p. xxx), au dépôt des Archives Nationales (''Affiches'', 2 août 1790, p. 2295). Les contenus des bibliothèques des Jacobins, des Récollets et celle des Capucins sont regroupées dans le couvent en novembre 1790 (Tuetey, ''Répertoire'', t. 3, p. 80). <br>
Lors du transfert de l'Assemblée à la Salle des Machines du château des Tuileries le 10 mai 1793, les comités déménagent dans le Pavillon de Marsan, mais les Archives Nationales restent au couvent. Le couvent des Capucins accueille alors un atelier de fabrication et réparation de fusils stockés dans la Salle du Manège voisine (M. Gribaudi, ''Paris, ville ouvrière'', 1789-1848, Paris, La découverte, 2014, p. 157-158).<br>
Le couvent est démoli en 1804 pour laisser la place aux r. de Rivoli, Castiglione et du Mont-Thabor. (Sommier, t. 1, art. 152-155, p. 38-40, p. 64-66).
Les numéros 243 et 245 (actuel) se trouvent sur la parcelle cadastrée BD 63.
Les numéros 243 et 245 (actuel) se trouvent sur la parcelle cadastrée BD 63.
==Propriétaire(s) avant 1789==
==Propriétaire(s) avant 1789==
Les '''Capucins'''.  
Les '''Capucins'''.  

Version du 4 février 2020 à 11:32

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Numéros successifs de la parcelle

Les numéros de parcelles correspondent le plus souvent aux numéros des maisons (ou immeubles). À Paris, plusieurs systèmes de numérotation des biens fonciers et immobiliers se succèdent de l'Ancien régime à la période contemporaine. Voir leurs principes respectifs. Rue Saint-Honoré, le système de numérotage se complique pendant la Révolution du fait de la mise en place du numérotage "sectionnaire" et parce que cette artère est limitrophe de 7 sections dont chacune a une logique de numérotage particulière. Voir la vue d'ensemble des sections de la rue Saint-Honoré.

Type (période) Terrier (avant 1780) Royal (1780-1791) Sectionnaire (1791-1805) Empire (depuis 1806) Actuel
Numéro n°267 n°424-428 (?) n°33-40 (?) n°355 n°243
Rattachement Terrier de la censive du Roi [1] Paroisse Saint-Roch Section Tuileries 1er Arrondissement (ancien) [2] 1er Arrondissement

Correspondance des numéros

Les sources consultées à ce jour (janvier 2020) ne permettent pas d'attribuer les numéros de Type Kreenfeldt-Royal et de type sectionnaire aux maisons de la rue Saint-Honoré bâties en limite du vaste domaine du couvent des Capucins. Par la suite, une fois le couvent démoli, les maisons reconstruites à partir de 1805 et dotées d'un numéro de type Empire sont repérables sur les cadastres successifs et on peut établir la correspondance de leurs numéros avec les numéros actuels.

Anciens couvents de l'Assomption et des Capucins (Plan Jacoubet 1836).

Le Recueil des réserves domaniales de la Ville de Paris indique que « les maisons portant les n°353, 353 bis, 355 et 355 bis (Empire) sont construites vers 1810 sur une parcelle constituée par le Domaine National en l'an XI (1803) et repérée par le N°28 » sur le plan d'allotissement ci-dessous.

Lots constitués en l'an XI par le Domaine National sur les parcelles des anciens couvents de l'Assomption (n°3) et des Capucins (n°27-31) (Ville de Paris, Recueil des réserves domaniales, 1er arrondissement, 1896, Pl 1, extrait).

Toutefois si on trouve bien ces quatre numéros sur les fiches individuelles du cadastre aux cotes AN 31/7/185-189 ils n'apparaissent dans cet ordre et à cet emplacement ni sur le plan Vasserot-Bellanger (ca 1830) AN/F/31/73/36, ni sur le plan Jacoubet (1836) ci-dessus.

Caractéristiques

Le couvent des Capucins de la rue Saint-Honoré, l'une des trois maisons parisiennes de l'Ordre, date de 1576. Outre les RR.PP. Capucins, il accueille des hôtes payants tel Boullonmorangis, Lemonnier, physicien et astronome, dont les instruments sont un temps conservés après la nationalisation (Brette, Histoire, p. 291). Le 9 novembre 1789, dès l'installation de l'Assemblée Nationale à la salle du Manège, dans le jardin des Tuileries, des bureaux et plusieurs comités de la Constituante sont installés dans les étages du couvent et dans des baraquements en bois construits à la hâte dans les jardins du couvent (Voir la répartition des services de la Constituante dans les locaux des Capucins dans A. Brette, Histoire, p. 179, 182 pour la Constituante, p. 209 pour la Législative ; Gallica et archive.org). D'autres sont logés au couvent voisin des Feuillants. (Voir plan dans G. Lenôtre, Paris révolutionnaire, p. 72-73).
Le 30 juillet 1790, l'Assemblée Nationale adopte un décret autorisant la Municipalité de Paris à faire évacuer le couvent des Capucins pour être employé au logement de plusieurs services de l'Assemblée, à l'installation de l'imprimerie de Baudouin dans le réfectoire (Tuetey, Répertoire, t. 3, p. xxx), au dépôt des Archives Nationales (Affiches, 2 août 1790, p. 2295). Les contenus des bibliothèques des Jacobins, des Récollets et celle des Capucins sont regroupées dans le couvent en novembre 1790 (Tuetey, Répertoire, t. 3, p. 80).
Lors du transfert de l'Assemblée à la Salle des Machines du château des Tuileries le 10 mai 1793, les comités déménagent dans le Pavillon de Marsan, mais les Archives Nationales restent au couvent. Le couvent des Capucins accueille alors un atelier de fabrication et réparation de fusils stockés dans la Salle du Manège voisine (M. Gribaudi, Paris, ville ouvrière, 1789-1848, Paris, La découverte, 2014, p. 157-158).
Le couvent est démoli en 1804 pour laisser la place aux r. de Rivoli, Castiglione et du Mont-Thabor. (Sommier, t. 1, art. 152-155, p. 38-40, p. 64-66).

Les numéros 243 et 245 (actuel) se trouvent sur la parcelle cadastrée BD 63.

Propriétaire(s) avant 1789

Les Capucins.

  • Parcelle n°267 (Terrier) « Sont deux portes l'une cochère, dépendantes du couvent des Capucins. » (AN, Q1 1099/3, Atlas de la censive du Roi, ca 1700, f°34, r°).

Propriétaire(s) Révolution-Empire

  • Le Domaine National, par confiscation des biens du clergé en 1790.
  • Delpont, (adjudication 3 floréal an XI).

Propriétaire depuis 1810

  • Dufaud, M. propriétaire du n°355 (Empire) (AN, F/31/7/187) (s.d., entre 1810 et 1830).
  • Terre, M. propriétaire du n°243 (actuel) en 1883.

N°239, 241, 243, 245 (1896 et actuel) Saint-Honoré (2ème lot du Couvent des Capucins) (Voir Pl. 1, Recueil) Vente nationale du 3 floréal an XI, Delpont adjudicataire. En 1883 les propriétaires sont M. de Nicolay pour le n°239, M Pancoucke pour le n°241, M. Terre pour le n° 243 et M. Joret pour le n°245 « L'adjudicataire [en l'an XI] sera tenu de se conformer aux alignements arrêtés par le Ministre de l'Intérieur ... » (Ville de Paris, Recueil des réserves domaniales, 1er arrondissement, 1896, art. 28, p. 3).

Occupants

  • Assemblée Nationale, n°426 (Royal) (1791).
  • Corps de la garde à cheval de Paris, aux Capucins, (Prévost, 1788).
  • Debessé, commissionnaire de marchandises, n°36 (Tuileries) (1798).
  • Grelet, Benoît, prêtre et chapelain du roi, au couvent des Capucins (1790).

« Messire Benoît Grelet, âgé de soixante-trois ans, prêtre du diocèse de Clermont-Ferrand, & chapelain du roi, demeurant à Paris, au couvent des Capucins de la rue Saint-Honoré. » (Anonyme, Procédure criminelle, vol. 2, p. 173).

  • Lemonnier, Pierre-Charles, professeur de physique, dans la cour des Capucins (Prévost, 1788), (Al. Royal, 1790, p. 479) (Tablettes, 1791 "Art"), n°426 (Royal) (1788, 1791).

Pierre-Claude-Charles Le Monnier (Paris, 1715 - Héril (Calvados), 1799), fils d'un professeur de philosophie au collège d'Harcourt, époux, en 1763, d'Anne de Cussy et père de Renée-Françoise Le Monnier qui devient la seconde épouse en 1792 du mathématicien Joseph Lagrange, fondateur de l'École Polytechnique. (Geneanet, Pierfit ; J. J. Le Français de Lalande, Bibliographie astronomique, Paris, Imprimerie de la République, 1803, p. 819-825 ; Google Livre).
Il est professeur de physique au Collège Royal, pensionnaire ordinaire de l'Académie des Sciences pour l'astronomie, lecteur en philosophie, de la Société de Londres et de celle de Berlin (nommé en 1735).
Le 28 janvier 1792, l'Académie des Sciences demande à l'Assemblée Nationale de rembourser à M. Lemonnier le loyer du logement dont il bénéficie cour des Capucins, vu qu'il est doyen de l'Académie, âgé de 70 ans, paralytique et seul académicien survivant de ceux qui ont été envoyés à l'équateur et au pôle pour la mesure du degré terrestre. (Tuetey, Répertoire, t. 6, p. 257).

  • Massard, Jean-Baptiste, fils, artiste-peintre, n°355 (Empire) (Artistes, 1808).
  • Pomme, représentant, commissionnaire de marchandises, n°36 (Tuileries) (1798).

Résidents

  • Baille (ou Bayle), Pierre-Marie, membre du directoire du département, député des Bouches-du-Rhône, membre de la Convention Nationale il réside « n°33 [Tuileries], Maison Cuisinier, marchand d'huile », jusqu'à son suicide à Toulon le 2 septembre 1793 (12-92, 4-93).
  • Boudart, François-Simon, curé de La Couture, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, aux Capucins-St-Honoré, chez le frère Joseph de Douai, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Breuvart, Jean-Léonard, curé de Saint-Pierre de Douai, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, aux Capucins-St-Honoré, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Camus, Armand-Gaston, avocat , député de la Haute-Loire à l'Assemblée Nationale Constituante, initialement cité comme habitant à l'adresse de son cabinet d'avocat au n°21, rue Guénégaud (4-91). Puis « ancien avocat au Parlement, membre de l'académie des Belles-Lettres, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, ancienne maison des Capucins, rue Saint-Honoré (1791)  » (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica). Membre de la Convention Nationale, archiviste national il déclare résider aux Archives Nationales installées initialement dans la bibliothèque du couvent des Capucins « n°34 [Tuileries] » jusqu'à ce qu'il soit livré aux Autrichiens par Dumouriez le 3 avril 1793 et à partir de sa remise en liberté le 4 nivôse an IV (25 décembre 1795).(12-92, 4-93), puis, lorsqu'il est membre du Conseil des Cinq-Cents, « au Palais National [Les Tuileries], Pavillon Égalité » (4-96).
  • Couturier, Jacob, curé de Salives, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, chez les Capucins, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Fleury, Jean, curé d'Iges, dépuité électeur du baillage de Sedan, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, aux Capucins, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Gausserand, Jean-Joachim, curé de Rivière, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, aux Capucins, 425 [Royal], rue Saint-Honoré (1790-1791) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Gauthier des Orcières, Antoine-François, avocat à Bourg, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, 428 [Royal], rue Saint-Honoré (1790) puis n°315 (Royal) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Guffroy, Armand-Benoît-Joseph, procureur du district d'Arras, député du Pas-de-Calais, membre de la Convention Nationale, réside « n°13 rue Basse-du-Rempart  » puis « 28 rue Neuve-des-Mathurins, au coin de la rue Thiroux » (12-92, 4-93), enfin « passage des Feuillants, n°35 [Tuileries] rue Saint-Honoré » (12-93, 12-94).
  • Lancelot Dubourg, Joseph-Joachim-François, recteur de Retiers, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, Aux Capucins Saint-Honoré, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Lanusse, Jean, curé de Saint-Etienne de Rive-Labourd et du Bourg Saint-Esprit,député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, Aux Capucins Saint-Honoré, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Larreyre, Jean-Baptiste, conseiller du roi au sénéchal de Tartas, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, Aux Capucins, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Launay (de), Jean-Marie, prieur-recteur de Plougat-Chatelaudren, chanoine prémontré,député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, Aux Capucins, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Lompré, Claude-Bénigne, chanoine, administrateur de la cure de Champlitte, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, Aux Capucins, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Lucas, Julien, recteur du Minihy-Tréguier, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, Aux Capucins, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Martin Jean-Jacques, curé de Sainte-Aphrodise de Béziers, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, Aux Capucins, rue Saint-Honoré (1790-1791) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Michet, Antoine, juge au tribunal de Villefranche, député de Rhône-et-Loire, membre de la Convention Nationale il réside « n°32 [Tuileries] », pendant toute la législature (12-92, 4-93, 12-93, 12-94). Membre du Conseil des Anciens, il réside au n°529 rue Copeau « au Palais National [Les Tuileries], Pavillon Égalité » (4-96, 12-98).
  • Milscent, Marie-Joseph, lieutenant particulier de la sénéchaussée et siège du présidial d'Angers, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, aux Capucins n°6, rue Saint-Honoré (1790-1791) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Pellegrin, Louis-François-Claude, curé de Sommérecourt, député électeur du bailliage de Bourmont, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, aux Capucins, 426 [Royal], rue Saint-Honoré (1790-1791) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Quéru de Lacoste, Pierre, recteur de Saint-Jean de Rennes, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, aux Capucins, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Rebecqui, François-Trophime, commissaire pour l'organisation des districts, député des Bouches-du-Rhône, membre de la Convention Nationale il réside « n°423 [Royal] » jusqu'à sa démission le 9 avril 1793 (12-92, 4-93).
  • Simon, Jean-François, curé de Woël, député électeur de Saint-Mihiel, député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, Aux capucins puis n°357 (Royal), rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).
  • Verguet, Claude-François, prieur de l'abbaye de Relec (Finistère), député aux États-Généraux et à l'Assemblée Nationale Constituante, aux Capucins, rue Saint-Honoré (1790) (Brette, États Généraux, t. 2. Gallica).

Visiter les parcelles voisines

Numéro pair vers l'Ouest Parcelles en vis-à-vis côté Nord Numéro pair vers l'Est
n°360 (Empire)
n°358 (Empire)
n°356 (Empire) Place Vendôme
Parcelle contiguë vers l'Ouest Cette parcelle côté Sud Parcelle contigüe vers l'Est
n°357 (Empire) OU n°355 bis (Empire)
n°355 (Type Empire)
n°353 (Empire) OU n°353 bis (Empire)

Notes et références

Les sources et références générales du projet Localisations parisiennes 1780-1810 sont regroupées dans : Sources & Références (Paris 1780-1810) {{#set:ghd=http://geohistoricaldata.org}}

  1. Atlas de la censive du Roi, Sixième plan de la rue Saint-Honoré (AN, Q1 1099/3, fol. 28 v°)Voir le plan.
  2. 4ème Quartier, Tuileries ; Ilots 10-11 (AN, F/31/73/36). Voir le plan parcellaire en ligne. Sur cette feuille du cadastre Vasserot-Bellanger (1830-1850) le numéro 355 (Empire) est en réalité inscrit en face de trois parcelles.